Le cannabis (Cannabis L.)

Le cannabis (Cannabis L.)


genre botanique qui rassemble des plantes annuelles de la famille des Cannabaceae. Ce sont toutes des plantes originaires d’Asie centrale ou d’Asie du Sud. La classification dans ce genre est encore discutée. Selon la majorité des auteurs il contiendrait une seule espèce, le Chanvre cultivé (Cannabis sativa L.), parfois subdivisée en plusieurs sous-espèces1, généralement sativa, indica et ruderalis (syn. spontanea), tandis que d’autres considèrent que ce sont de simples variétés. Les plantes riches en fibres et pauvres en Tétrahydrocannabinol (THC) donnent le « chanvre agricole » qui pousse dans les zones tempérées, exploité pour ses sous-produits (fibres, graines…) aux usages industriels variés, tandis que le « chanvre indien », qui pousse en climat équatorial, est au contraire très riche en résine et exploité pour ses propriétés médicales et psychotropes.





















De nombreuses lignées de cannabis sont, en outre, obtenues par hybridation entre sous-espèces ou variétés du genre, par sélection des plantes ou encore par le bouturage qui permet de les cloner à l’identique. Ainsi les plants sont triés en fonction de l’usage que l’on souhaite en faire ou de la législation locale : qualité de leurs fibres, richesse en huile de leurs graines (chènevis), leur faible taux de THC ou, au contraire, leur concentration élevée en cannabinoïdes dans le cadre des usages médicaux ou comme drogue.





Le chanvre fut très largement utilisé au cours de son histoire. Il côtoie l’être humain depuis le Néolithique. Il a toutefois été peu à peu réglementé voire interdit au cours du XXe siècle, en raison de ses propriétés psychotropes et des effets du cannabis sur la santé. La culture du chanvre agricole connaît un rebond dans les années 1970, parallèlement à l’augmentation du prix du pétrole, favorisée également par l’émergence de nouveaux débouchés et la prise de conscience environnementale. Comptant 47 000 hectares cultivés en 2017, le Maroc est le principal producteur de cannabis au monde, devant la Mongolie (15 000 hectares).





Le cannabis récréatif est considéré comme une drogue douce, notamment du fait de l’impossibilité de faire une overdose de THC. Une dépendance psychique au cannabis reste possible, mais non physique comme dans le cas des drogues dites dures. Des études ont également montré qu’une consommation régulière de cannabis chez l’adolescent induit une baisse irréversible de QI et favorise l’apparition de troubles psychotiques. L’usage récréatif du cannabis est aujourd’hui autorisé dans plusieurs États américains, ainsi qu’en Uruguay et au Canada, qui est en juin 2018 le premier pays du G7 à voter sa légalisation. Selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, 180 millions de personnes ont consommé au moins une fois du cannabis à usage récréatif en 2017.





Description de cette image, également commentée ci-après




Le mot « chanvre » est dérivé du latin cannabis2. Lui-même est la translittération de l’arabe « قنب »3, kunneb.4. Ce mot a donné son nom scientifique au genre botanique Cannabis, mais aussi dans le langage courant au « cannabis » récréatif.





Les espèces ou sous-espèces du genre botanique Cannabis sont désignées en français par des noms différents selon l’usage qui en est fait. Ainsi, au XXIe siècle, les acteurs de la filière du chanvre qui produisent des variétés de Cannabis à usage industriel préfèrent utiliser les appellations « chanvre », « chanvre cultivé », « chanvre agricole », « chanvre d’œuvre » ou d’ouvrage… Tandis que pour les variétés de Cannabis à usage récréatif, on utilise de préférence la terminologie latine empruntée à la nomenclature botanique : « cannabis », « sativa », « indica », « ruderalis »5 ou « afghanica », ainsi que des appellations plus traditionnelles comme « chanvre indien » ou « chanvre afghan ».





En ce qui concerne l’agriculture, le « chanvrier », ou la « chanvrière », est la personne qui travaille le chanvre, mais une « chanvrière » peut aussi désigner une coopérative de producteurs ou un champ de cette plante. On disait aussi le « chanvreur » pour celui qui en broyait les tiges et le « ferrandier » pour désigner le peigneur de chanvre qui séparait les fibres. On utilisait un four à chanvre pour le séchage. Un champ de chanvre s’appelle ainsi une « chanvrière », mais on parle aussi de « chènevière », ou encore de « canebière » dans le sud de la France, à l’origine du nom de l’artère du centre de Marseille (du provençal « canèbe », qui signifie « chanvre »)6.





En botanique, le chènevis est la graine de chanvre et la chènevotte sa tige centrale dépourvue d’écorce.





Le fait de cultiver clandestinement du chanvre en pleine nature à l’abri des regard s’appelle la « culture guérilla », traduction littérale de l’expression anglaise guerilla grow. Les auteurs d’une culture guérilla sont appelés « guerilleros » et le lieu de culture un « spot guerilla »[réf. nécessaire].





Les cannabinoïdes sont les substances chimiques produites par des glandes spécialisées présentes sur toutes les parties aériennes de la plante. La marijuana regroupe les fleurs séchées sélectionnées pour leur taux élevé en THC ou autres cannabinoïdes, tandis que le haschich est la résine pure issue du chanvre femelle, préparée en pâte, et le skuff est un autre dérivé manufacturé du cannabis obtenu par un tamisage plus grossier que le haschich.





Un grand nombre de surnoms allégoriques sont donnés familièrement aux différents sous-produits à usage récréatif dérivés des Cannabis sp., destinés à les distinguer de l’usage agricole et dont la variété et le caractère exotique ou temporaire sont amplifiés dans le contexte d’une pratique clandestine2.





Dans un autre registre familier, la « cravate de chanvre » désigne par métonymie la corde de la potence2.










Différents Cannabis






Nomenclature et systématique





Les auteurs poursuivent les recherches et les analyses au XXIe siècle pour déterminer si les grands types de chanvre traditionnellement identifiés sont répartis en espèces ou bien en sous-espèces, auxquelles il faut ajouter les multiples variétés ou cultivars obtenus par croisement ou par sélection progressive de ces supposées espèces (voir la liste des lignées de cannabis).





Selon la majorité des auteurs, ce genre contiendrait une seule espèce, le Chanvre cultivé (Cannabis sativa L.), subdivisée en plusieurs sous-espèces, généralement subsp. sativa, subsp. indica et subsp. ruderalis (syn. spontanea)7,5. Toutefois certains auteurs mentionnent encore plusieurs espèces : Cannabis indica, Cannabis ruderalis, etc.





Cette division est discutable : certains ne considèrent pas les différences entre les espèces ou les sous-espèces comme suffisamment importantes et estiment que ce sont toutes de simples variétés botaniques de Cannabis sativa.





On peut néanmoins différencier quatre phénotypes bien distincts8 : « sativa », « indica », « ruderalis » et « afghanica ».









liste d’espèces, sous-espèces ou variétés









Différence entre les principales plantes du genre Cannabis





Les études du début du XXIe siècle tendent à regrouper toutes les formes de la plante dans une seule espèce, Cannabis sativa L., mais selon les époques et les auteurs, le nombre d’espèces distinctes, sous-espèces ou variétés diffère.





Selon GRIN (10 octobre 2018)9 et ITIS (10 octobre 2018)10 :









Selon Catalogue of Life (10 octobre 2018)11 :









Selon BioLib (10 octobre 2018)12 :









Espèces et synonymes selon Tropicos





Selon Tropicos (10 octobre 2018)13 (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :









Principaux phénotypes





On peut différencier quatre phénotypes bien distincts8





Chanvre cultivé ou « sativa »





Article connexe : Cannabis sativa.





Sativa jamaïcaine




Sativa jamaïcaine destinée à être fumée.





Sativa réunionnaise




Jeune plant de Sativa exposé au Jardin d’Éden, à La Réunion.





Le phénotype dit Cannabis sativa L. est synonyme de Cannabis sativa subsp. sativa. C’est une plante appelée dans le langage commun, selon son usage, chanvre cultivé ou sativa14. Elle provient des régions équatoriales. Elle atteint en quelques mois une hauteur de plusieurs mètres et jusqu’à plus de six mètres). Les folioles de ses feuilles sont fines et la plante est peu ramifiée. Sa tige est souple et creuse. Son cycle de vie est plus long que celui des autres sous-espèces, sans doute à cause de la photopériode des régions équatoriales.





Cette plante est réputée pour ses fibres, elle a largement été utilisée dans le passé et l’est encore à l’époque actuelle pour les multiples applications qu’elle permet (tissus, construction, cosmétique, isolation phonique et isolation thermique, huiles, cordages, litières, combustibles, papeterie, alimentation humaine, alimentation animale, agrocarburants, usage médicamenteux, usage récréatif, matériaux composites en association avec des matières plastiques…). Les semenciers travaillent par exemple à la création de cultivars sélectionnés génétiquement et qui constituent le chanvre cultivé légalement15. Le but est de réhabiliter la filière chanvre afin de répondre aux nouveaux défis énergétiques et environnementaux. Ces cultivars font l’objet d’un programme de sélection génétique intensif afin de minimiser leur teneur en THC.









Chanvre indien ou « indica »





Article connexe : Cannabis indica.









Cannabis indica M-39.





Le phénotype Cannabis indica Lam. est synonyme de Cannabis sativa subsp. indica (Lam.) E.Small & Cronquist, ou de Cannabis sativa L. var. indica (Lam.) Wehmer. Elle est couramment appelée chanvre indien16. La plante est originaire des régions himalayennes du nord de l’Inde. Le chanvre indien est réputé essentiellement pour ses propriétés psychotropes mais également dans une moindre mesure pour sa fibre. Une rumeur populaire prétend à tort que c’est la seule sous-espèce qui se fume. Certains prétendent que, comme psychotrope, elle procure davantage un effet « stoned »17 comparé au Cannabis sativa. C’est un effet plus lourd, plus corporel, voire soporifique, plutôt qu’un effet « high », plus cérébral, et davantage associé aux sativas.





Sa concentration en principes actifs dépend du climat et de l’environnement dans lesquels la plante a évolué18. Elle se caractérise physiquement par des pales larges, une ramification assez importante et une stature moyenne qui ne dépasse jamais les trois mètres. Sa floraison est plus précoce que Cannabis sativa L. subsp. sativa, raison pour laquelle elle est davantage appréciée en culture récréative. Sa tige est souple et presque pleine.









Chanvre sauvage ou « ruderalis »





Article connexe : chanvre sauvage.









Chanvre sauvage





Le phénotype Cannabis ruderalis Janisch est synonyme de Cannabis sativa subsp. spontanea, ou de Cannabis sativa var. ruderalis (Janisch.) S.Z.Liou. Il est appelé couramment chanvre sauvage19. Elle est caractérisée par sa floraison précoce. Certaines populations sont insensibles à la photopériode. Elle supporte des climats assez froids et des conditions environnementales difficiles. Comme Cannabis afghanica, sa stature est petite ne dépassant pas les 1 m de hauteur et n’est pratiquement pas ramifiée, souvent à tige unique. La plante entre dans la création d’hybrides pour augmenter la précocité du chanvre à usage récréatif. Il ne possède en lui-même que de très faibles effets psychotropes. La teneur en THC n’excède pas les 0,5 %.





Le chanvre sauvage pousse à l’état sauvage en Europe centrale et en Europe de l’Est où il est considéré comme une « mauvaise herbe ». On le rencontre fréquemment en bordure des routes, des champs et des rivières. Le chanvre sauvage poussait à l’origine dans le Sud-Est de l’ancienne Russie. On pense que ce sont les Scythes qui l’ont diffusé en Asie notamment en Mongolie. Il est actuellement, naturalisé depuis l’Europe centrale jusqu’en Chine.





Chanvre afghan ou « afghanica »





Le phénotype Cannabis afghanica est synonyme de Cannabis kafiristanica (Vavilov) Chrtek ou de Cannabis sativa subsp. kafiristanica ou encore de Cannabis sativa var. kafiristanica (Vavilov) E.Small & Cronquist). Il est appelé couramment chanvre afghan20. Le Kafiristan, nom d’une province afghane, signifie littéralement « pays des infidèles ». Le Kafiristan est une province isolée dans les montagnes de l’Hindu Kush qui a récemment été renommée Nurestân. Elle est appelée ainsi car d’autres sous-espèces poussent en Afghanistan, souvent dérivées du chanvre indien, et sont souvent appelées abusivement chanvre afghan [pas clair] 21[réf. incomplète].





Le chanvre afghan est cultivé essentiellement dans les montagnes du Pakistan et de l’Afghanistan, milieu auquel il est bien adapté. La plante ne dépasse jamais les 1,50 m de hauteur. Il est à peine plus grande que le chanvre sauvage mais contrairement à ce dernier il possède un important taux de THC. Il est cultivée exclusivement pour la production de haschich, sa petite taille le rendant impropre à une utilisation textile. Il présente de nombreuses ramifications comme le chanvre indien, mais la distance entre les nœuds est beaucoup plus faible. À maturité ses feuilles sont beaucoup plus longues que C. indica, atteignant la dimension de celles de C. sativa mais plus large et avec le même ratio longueur/largeur que C. ruderalis. C’est le seul type de Cannabis à avoir un tronc nervuré et solide. Ces caractéristiques intermédiaires sont peut-être la trace d’une origine hybride ancienne fixée.









Description botanique





Les espèces du genre Cannabis sont des plantes annuelles de la famille des Cannabaceae. Ce sont toutes des plantes originaires d’Asie centrale ou d’Asie du Sud.





Les Cannabis ont un système de détermination sexuelle particulièrement compliqué. Plusieurs modèles ont été proposés pour expliquer ce fonctionnement. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?





  • Plant de chanvre sauvage.
  • Revers d’une feuille montrant les nervures.
  • Vue en coupe latérale du système racinaire.
  • Vue aérienne du système racinaire.
  • Coupe d’une tige.
  • Tige avec mise en évidence des fibres et de la chènevotte (moelle).
  • Coupe microscopique de C. sativa (à gauche) et C. indica (à droite).




message galerie Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.





  • Fleurs mâles de Cannabis sp.
  • Fleurs femelles de Cannabis sp.
  • Fruits (achènes) de Cannabis sp. contenant les graines : le chènevis.
  • Graines décortiquées.




Cannabinoïdes dans la plante





Plus de soixante cannabinoïdes sont recensées dans les différents cultivars. Le tétrahydrocannabinol (THC), le cannabidiol (CBD) et le cannabinol (CBN) sont les plus répandues. Leur biosynthèse se fait dans des glandes spécialisées présentes sur toutes les parties aériennes de la plante. Le développement de ces glandes débute avec la formation des bractées.





Les facteurs régulant la production de cannabinoïdes ne sont que partiellement connus. Bien qu’il soit prouvé que le stress environnemental augmente de manière importante la quantité de Δ 9-tetrahydrocannabinol (Haney and Kutscheid, 1973; Coffman and Gentner, 1975)22, une théorie plus générale est que les aspects qualitatifs dépendent de la génétique de la plante et que les aspects quantitatifs sont influencés par des facteurs environnementaux (Fairbairn and Liebmann, 1974 ; Latta and Eaton, 1975)22. Les cannabinoïdes jouent le rôle d’agents défensifs, contre la dessiccation, les parasites, les UV-B, le froid et les microbes23.






















Le CBD, l’avenir de la récupération pour les sportifs ?


Les corps des athlètes sont endommagés, suite aux entrainements et matchs / combats qu’ils préparent et encaissent tout au long de leur carrière. Chez Hexagone Vert, nous parlons régulièrement de l’utilisation du CBD dans le sport. De plus en plus de professionnels et amateurs utilisent et promouvoient le cannabidiol comme outil de récupération naturel : Le CBD, l’avenir de la récupération pour les sportifs ?





Quel que soit le sport, le corps d’un athlète subit des douleurs considérables à chaque pratique et chaque match. Et comme l’ont montré les études sur l’encéphalopathie traumatique chronique (CTE), la douleur peut durer toute la vie.





D’autres douleurs permanentes ont paralysé ou détérioré la qualité de vie de la plupart de nos stars du sport préférées. Ces douleurs s’étendent bien au-delà des élites sportives à la retraite et actuelles. Cela peut même arriver aux enfants.





Neuf joueurs de la NFL sur dix ont déclaré au Washington Post qu’ils avaient été blessés au cours de leur carrière. Cela n’a rien de surprenant, car les cartes de profondeur de la ligue sont très compétitives. Un point de départ peut être perdu en un instant. Et dans un sport où les contrats échouent souvent, les joueurs sont libérés et risquent de ne jamais voir une autre occasion.





Alors, comment les joueurs peuvent-ils maintenir leur carrière et leur qualité de vie?





Un nombre croissant suggère un extrait du chanvre, à savoir le cannabidiol (CBD).





Le CDB comme solution potentielle





Le CBD à lui seul agit comme une propriété curative avec de nombreuses vitamines et minéraux essentiels sans effet psychotrope. Seul le THC, autre cananbinoïde, propose les effets que nous connaissons tous si bien. Aujourd’hui, le CBD, l’un des cannabinoïdes les moins actifs du cannabis, est en train de devenir un choix populaire pour tous les types de douleur, y compris les sports. Cependant, les ligues et les gouvernements restent dans l’opposition. Quoi qu’il en soit, certains athlètes actifs et retraités le réclament comme remède.





Cela a attiré l’attention de l’Agence mondiale antidopage (AMA). À compter de 2018, le CDB a été retiré de la liste des substances interdites, ce qui permet aux concurrents olympiques de l’utiliser comme solution naturelle. Les athlètes devront toujours surveiller leurs sources pour éliminer tout produit douteux ou risquer une suspension ou une disqualification de leurs épreuves. Nous vous en parlions déjà dans cet article.





L’ancien commissaire de la NBA, David Stern, a récemment exprimé son soutien à sa ligue pour retirer le cannabis, et pas seulement le CBD, de sa liste. Pour la NFL, elle continue de restreindre le CBD et toutes les autres formes de cannabis. Le commissaire Roger Goodell, aux prises avec des difficultés, s’oppose fermement au changement. Cependant, plusieurs propriétaires, dont l’un des plus féroces rivaux de Goodell, le propriétaire de Dallas Cowboy, Jerry Jones, plaideraient pour une abrogation complète du cannabis.





Les athlètes en parlent





Les athlètes de plusieurs sports expriment à présent leur soutien pour des changements de règles similaires. Un joueur actif dans une autre ligue de football professionnel a déclaré à PotGuide, sous le couvert de l’anonymat, que le CBD avait “considérablement réduit la douleur et le temps de récupération” de son coude après de nombreuses blessures.





Comme beaucoup d’athlètes, il n’était pas fumeur de cannabis. Cependant, il a opté pour le CBD après avoir été sensibilisé à la question, ce qui manque à beaucoup de gens dans ses ligues et dans d’autres, en ce qui concerne le cannabis en général.





Dans la NFL, deux joueurs actifs se sont manifestés jusqu’ici. Offensive Tackle Eugene Morgan et le secondeur des Titans des Tennessee Titans, Derrick Morgan, ont tous deux rejoint la campagne du programme de recherche sur le CDB pour les joueurs retraités, When the Bright Lights Fade.





Le CBD, l'avenir de la récupération pour les sportifs ?
Eugene Monroe, qui était autrefois un joueur dominant de la NFL, défend désormais le cannabis. Jeffrey Beall




S’exprimant sur l’utilisation du CDB et d’autres athlètes, Morgan a déclaré:





«Vous n’êtes pas obligé de le prendre, mais vous devriez au moins le savoir si cela va vous aider à protéger votre cerveau et votre corps.”





Pendant ce temps, Eugene Monroe a pris sa retraite. après avoir pensé à sa vie à long terme et à sa famille. Lorsqu’il a maîtrisé sa douleur, Monroe a déclaré:





“Le cannabis était une option flagrante”. D’autres joueurs à la retraite comme Jake Plummer, Ricky Williams et beaucoup d’autres défendent maintenant la cause.





L’un des joueurs retraités les plus remarquables est Marvin Washington. En outre, il n’a jamais consommé de cannabis avant de se tourner vers le CBD après sa retraite. Il est l’un des cinq plaignants à contester la loi de 1970 sur les substances contrôlées et la position actuelle du ministère de la Justice des États-Unis.





Washington a fait écho à des sentiments similaires concernant la compréhension du CBD par les joueurs.





Après des recherches et un apprentissage, il a découvert qu ‘”en tant qu’ancien athlète professionnel, le CBD est une huile essentielle pour l’homme. Je prends une teinture de CBD quotidiennement et utilise une crème à base de CBD pour les douleurs musculaires.”





Sa participation à l’affaire découle de deux points:





«Premièrement, il est inconstitutionnel que le cannabis soit une drogue de l’annexe 1, car le gouvernement dispose d’un brevet sur le cannabis et connaît ses avantages sur le plan médical. Deux, c’est raciste. Richard Nixon voulait s’en prendre à deux groupes, des hippies et des Afro-américains. Hippies à cause de leur opposition à la guerre du Vietnam et les Afro-Américains, parce qu’il était raciste. “





Le CBD, l'avenir de la récupération pour les sportifs ?




Entreprises soutenant le CDB et le sport





Shawn Hermanson, CMO du fabricant de produits nutraceutiques à base de cannabinoïdes, Boulder Botanicals and Bio-Sciences (BBB), estime que le CBD donne de l’espoir aux joueurs. Il note que beaucoup qualifient le CDB de “supplément miracle” et que les ligues pourraient bien comprendre cette idée plus tôt que plus tard.





“Le fait que je reçois des appels d’agents sportifs environ une fois par semaine pour me renseigner sur le CBD et sur la manière dont il aide les athlètes” est un bon signe de la diminution de la stigmatisation qui entoure le CBD.





D’autres anciens athlètes, comme le porteur de ballon de la NFL Ricky Williams et le joueur de la NBA Cliff Robinson, ont rejoint le groupe canna. Williams, qui a brièvement pris sa retraite de la NFL, a admis que “c’était un peu vrai” qu’il avait quitté la ligue pour fumer de l’herbe.





Cependant, il a ajouté que ce n’était pas «dans la manière dont les gens le voient». Beaucoup entrent dans le CBD pour les athlètes. Hermanson et BBB voient dans le CBD un remède immédiat aux coups vicieux.





«Des études ont montré qu’après qu’un athlète avait reçu un coup sur la tête, l’accumulation dégénérative de protéines commençait. L’administration quasi immédiate de CBD réduirai cette accumulation. ”





Il n’est pas certain si ou quand d’autres ligues et instances dirigeantes changeront de position. Avec la science et le montage de données, la preuve de concept apparaît presque concrète. Pour un sport comme le football, où les dommages permanents au cerveau sont désormais un effet secondaire courant du jeu, le CBD pourrait lui sauver la vie. Pour les autres athlètes, le CBD pourrait également devenir une solution naturelle à leurs problèmes. Et si le cas de Marvin Washington s’avère victorieux, la discussion pourrait être complètement terminée en Amérique.





Nous avons régulièrement écris et traduit des article sur le sujet du Sport et du CBD, que vous pouvez retrouver dans notre blog, dans la catégorie sport, disponible en cliquant ici.





De plus, Hexagone Vert soutient une équipe de combattants professionnels et leur clubs, la Hexagone Vert Fighting Family, en proposant l’utilisation du CBD pour récupérer de façon naturelle.





Retrouvez nos produits spécialement dédiés aux sportifs : https://www.hexagonevert.fr/categorie-produit/sport/





Article source : https://www.coloradopotguide.com/colorado-marijuana-blog/article/cbd-athletes-and-the-future-of-sports-recovery/


Le CBD peut réduire les conséquences négatives d’une réduction de l’apport sanguin au cerveau en cas de diabète


Dans certains cas de diabète, l’apport sanguin au niveau du cerveau peut-être freiné et ralenti. Le mois dernier, des chercheurs ont pu mettre en lumière le fait que le CBD pouvait aider à réduire les conséquences de cette situation : Le CBD peut réduire les conséquences négatives d’une réduction de l’apport sanguin au cerveau en cas de diabète





Le diabète et le vieillissement sont des facteurs de risque de déficiences cognitives après l’hypoperfusion cérébrale chronique (CCH). Une hypoperfusion désigne une diminution de la vascularisation (ischémie) d’une zone de l’organisme. En cas d’hypoperfusion cérébrale, c’est une partie du cerveau qui n’est pas correctement alimentée en sang. Ce défaut d’irrigation peut se révéler extrêmement grave et être à l’origine de démence ou entraîner un décès. De façon plus générale, en cas d’hypoperfusion, les tissus qui ne sont plus irrigués risquent de se nécroser (mort des tissus) et d’entraîner un état de choc (chute brutale de la tension artérielle).





Le cannabidiol (CBD) est un phytocannabinoïde présent dans la plante Cannabis sativa, donc de chanvre. Il a des effets bénéfiques sur les maladies ischémiques cérébrales et le diabète.





Les chercheurs not récemment signalé que le diabète interagissait de manière synergique avec le vieillissement pour augmenter les neuroinflammations et les déficits de mémoire chez les rats soumis à l’HCC. Dans cette étude disponible en cliquant ici, ils ont essayé de mettre en valeur les différents possibilités d’action du CBD. Réalisée par des scientifiques brésilien de l’Université d’État de Maringá, elle à été mise en ligne en Novembre 2018.





Cette étude a examiné si le CBD atténuerait le déclin cognitif et affecterait les marqueurs de l’inflammation et de la neuroplasticité dans l’hippocampe chez des rats diabétiques d’âge moyen soumis à CCH. Le diabète a été provoqué chez des rats d’âge moyen (âgés de 14 mois) par l’administration intraveineuse de streptozotocine (SZT).





Trente jours plus tard, les animaux diabétiques ont été soumis à des chirurgies simulées ou CCH et traités avec du CBD (10 mg / kg, une fois par jour) pendant 30 jours.





Le diabète a exacerbé les déficits cognitifs induits par la CCH chez les rats d’âge moyen. Un traitement répété par le CBD a entraîné une perte de poids chez les animaux opérés de manière fictive et sous CCH.





Le cannabidiol a amélioré les performances de la mémoire et réduit les taux de marqueurs de l’inflammation dans l’hippocampe (oxyde nitrique synthase inductible, molécule adaptatrice de liaison au calcium ionisée 1, protéine acide fibrillaire gliale et arginase 1).





Le cannabidiol a atténué la diminution des taux de facteur neurotrophique dérivé du cerveau induit par la CCH dans l’hippocampe chez les animaux diabétiques, mais n’a pas affecté les niveaux des marqueurs de neuroplasticité (protéine 43 associée à la croissance et synaptophysine) chez les rats diabétiques d’âge moyen.





Ces résultats suggèrent que les effets neuroprotecteurs du CBD chez les rats diabétiques d’âge moyen soumis au CCH sont liés à une réduction de la neuroinflammation.





Cependant, ils semblaient se produire indépendamment des modifications de la neuroplasticité de l’hippocampe.


Asthme allergique : étude sur l’utilité du CBD


L’asthme est caractérisé par une inflammation chronique des poumons et une hypersensibilité des voies respiratoires. L’asthme reste un problème majeur de santé publique et, à l’heure actuelle, il n’existe aucune intervention efficace susceptible d’inverser le remodelage des voies respiratoires : asthme allergique : étude sur l’utilité du CBD





Asthme allergique et CBD





Lors d’une étude sur l’asthme allergique,réalisée à l’Université Extreme Sud de Santa Catarina, à Criciúma, au Brésil, et publiée le 15 Janvier 2019, le CBD à présenté une action notable sur des souris. Elle est disponible en cliquant sur ce lien. Les chercheurs écrivent : ” L’asthme est caractérisé par une inflammation chronique des poumons et une hypersensibilité des voies respiratoires. L’asthme reste un problème majeur de santé publique et, à l’heure actuelle, il n’existe aucune intervention efficace susceptible d’inverser le remodelage des voies respiratoires. Le cannabidiol (CBD) exerce des effets immunomodulateurs en activant les récepteurs aux cannabinoïdes-1 et -2 (CB1 et CB2) situés dans le système nerveux central et les cellules immunitaires, respectivement. Cependant, comme le rôle du CBD sur le remodelage des voies aériennes et les mécanismes de CB1 et CB2 ne sont pas complètement élucidés, cette étude a été conçue pour évaluer les effets du cannabidiol dans ce scénario. “





L’étude





Afin de noter et quantifier l’action du CBD, les scientifiques ont mis en place plusieurs techniques afin de pouvoir mesurer cette action : l’asthme allergique a été induit chez des souris exposées à l’ovalbumine, et la mécanique respiratoire, la teneur en fibres de collagène dans les septa des voies respiratoires et alvéolaires, les taux de cytokines et l’expression de CB1 et CB2 ont été déterminés.





De plus, les expressions de CB1 et CB2 dans les expectorations induites d’individus asthmatiques et leur corrélation avec l’inflammation des voies respiratoires et la fonction pulmonaire ont également été évaluées.





Résultat de l’action du CBD sur l’asthme allergique





Le traitement à base de CBD, quelle que soit la posologie, diminue l’hyperréactivité des voies respiratoires, alors que l’élastance pulmonaire statique n’est réduite qu’à des doses élevées.





Ces résultats ont été accompagnés d’une diminution de la teneur en fibres de collagène dans les septa des voies respiratoires et alvéolaires et de l’expression de marqueurs associés à une inflammation dans le liquide de lavage broncho-alvéolaire et l’homogénat de poumon.





Il existait une corrélation significative et inverse entre les taux de CB1 et la fonction pulmonaire chez les patients asthmatiques.





Le traitement au CBD a diminué les processus inflammatoires et de remodelage dans le modèle de l’asthme allergique.





Les mécanismes d’action semblent être médiés par la signalisation CB1 / CB2, mais ces récepteurs peuvent agir différemment sur l’inflammation et le remodelage des poumons. Ainsi, le CBD, quelle que soit la posologie, a réduit l’hyperactivité des voies respiratoires et diminué l’inflammation.


Comment le CBD peut-il être efficace dans le traitement d’un type de cancer du cerveau grave


Encore une fois, l’action du CBD sur différents cancers est mise en valeur par une équipe de chercheurs britanniques. Sur plusieurs aspects, le Cannabidiol semble avoir plusieurs possibilités d’action sur le cancer, à prendre en compte et à continuer d’explorer. Comment le CBD peut-il être efficace dans le traitement d’un type de cancer du cerveau grave.





Après l’intervention du Dr Desprez, disponible en cliquant ici, traitant l’action anti-metastatique du CBD,  , cette nouvelle étude semble préciser l’action du CBD sur un type de cancer, celui du cerveau.





Réalisée par des scientifiques de l’École des Sciences Humaines de l’Université Métropolitaine de Londres au Royaume-Uni, et publiée le 28 Décembre 2018,  cette étude à été mise en place sur un cancer du cerveau particulier, et très grave, le GBM : Glioblastome multiforme. Elle est disponible en cliquant ici.





Le glioblastome multiforme (GBM) est la forme la plus courante et la plus agressive de tumeur primitive du cerveau maligne chez l’adulte.





Afin d’étudier l’impact du CBD, les chercheurs ont étudiés l’action de ce dernier sur deux aspects différents qui restent importants dans la prolifération des cellules cancéreuses :





  1. Les vésicules extracellulaires (EV) sont des médiateurs clés pour la communication cellulaire par le transfert de protéines et de matériel génétique. Elles sont donc utiles au déplacement des cellules cancéreuses : les cancers, tels que le GBM, utilisent la libération de vésicules extracellulaires pour l’élimination du médicament, la signalisation pro-oncogénique, l’invasion et l’immunosuppression. La modulation de la libération de vésicules extracellulaires et de la cargaison revêt donc une importance clinique considérable.
  2. La prohibitine, qui elle peut contribuer à la chimio-résistance, à savoir la résistance des cellules cancéreuses aux agents chimiothérapeutiques.




CBD & Cancer du cerveau





Étudié sur des cellules de glioblastome, le CBD à été intégré au protocole afin de pouvoir qualifier et quantifier son action.





Comme il a été démontré que les inhibiteurs des vésicules extracelullaires (VE) augmentent la sensibilité des cellules cancéreuses à la chimiothérapie, et que que le cannabidiol (CBD) est un tel modulateur de ces dernières, les scientifiques ont recherché si le CBD affectait le profil des VE dans les cellules dites GBM en présence et en l’absence de témozolomide.





Par rapport aux témoins, les cellules traitées au CBD ont libéré des VE contenant des taux plus bas de miR21 pro-oncogénique et des taux accrus de miR126 anti-oncogénique; ces effets étaient plus importants qu’avec le témozolomide seul. De plus, la prohibitin (PHB), a été réduite dans les cellules “GBM” après un traitement d’une heure au CBD.





Les auteurs ont conclu que le CBD peut “jouer le rôle de complément pour améliorer l’efficacité du traitement des GBM. “





Ces données suggèrent que le CBD pourrait, via la modulation des véhicules électriques et du PHB, jouer le rôle de complément pour améliorer l’efficacité du traitement dans le GBM, ce qui corrobore la preuve de l’efficacité des cannabinoïdes dans le GBM.





Etude source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30597288


Selon un rapport de cas le CBD est efficace dans la schizophrénie résistante au traitement


La schizophrénie est une pathologie régulièrement citée dans les sciences du cannabis : réputée pour être possiblement augmentée par la consommation de THC, elle semble pouvoir a contrario être soulagée par l’utilisation du CBD.  Une nouvelle est tombée récemment : selon un rapport de cas le CBD est efficace dans la schizophrénie résistante au traitement.





Nous vous avions déjà évoqué via l’article disponible en cliquant ici, l’étude de l’action des cannabinoïdes sur la skyzophrénie en vous présentant Jacques, chercheur français travaillant sur le sujet. Un site spécialisé avait d’ailleurs relevé notre travail : https://www.les-schizophrenies.fr/ . Des centaines d’études animales sur l’utilisation du CBD sont désormais disponibles et traduites sur notre blog. Aujourd’hui arrivent enfin à nos oreilles, via de nombreux scientifiques, des rapports de cas et des études humaines.





Réalisée par une équipe de scientifique spécialisés, dans le Département de Psychiatrie et de Psychothérapie, à l’Université de Leipzig, en Allemagne, ce rapport de cas à été mis en ligne le 13 Décembre 2018. Elle est disponible en cliquant ici.





D’après les résumés sur les revues scientifiques, voici les compte-rendus du rapport de cas évoqué :





Un traitement complémentaire à la dose de 2 × 750 mg de CBD a considérablement amélioré les symptômes positifs et négatifs chez une femme de 57 ans présentant une schizophrénie résistante au traitement.





Les auteurs ont noté que “le CBD pourrait être particulièrement approprié pour les patients résistants aux antipsychotiques en raison de son mode d’action différent”.


Des chercheurs israéliens développent un médicament au cannabis contre le cancer de la peau


MedC Biopharma est en train de développer un médicament à base de cannabis pour guérir une forme rare de cancer de la peau. Des chercheurs israéliens développent un médicament au cannabis contre le cancer de la peau





En ce qui concerne les médicaments à base de cannabis, il existe généralement deux méthodes de production communes. L’un est appelé «effet d’entourage», qui utilise l’ensemble de la plante et tous ses composés. L’autre exploite un cannabinoïde spécifique (le plus souvent, le CBD mais, au cours des dernières années, d’autres composés ont également été isolés) et crée des médicaments utilisant ce principe actif.





MedC Biopharma combine ces deux approches pour créer un traitement du cancer de la peau du cannabis unique et commercialisable.





“Notre formulation ne contient aucun ingrédient actif qui n’ait pas été identifié auparavant, mais la sélection de ces ingrédients et les ratios précis qui les unissent rendent ce produit inhabituel, par opposition à l’utilisation de la plante de cannabis complète ou à l’utilisation d’un seul ingrédient actif”, a déclaré Guy. Drori, PDG de MedC. “Cela permet d’enregistrer un brevet et de le développer en tant que médicament.”





Le médicament devrait guérir une forme rare de cancer de la peau, le lymphome cutané à lymphocytes T.





Les LCC touchent le plus souvent les adultes du groupe d’âge des 40 à 60 ans, mais environ 0,5% des cas surviennent chez les jeunes enfants. Cette maladie est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes et sa gravité peut aller de symptômes bénins présents uniquement sur la peau (tels que sécheresse, démangeaisons et éruptions cutanées) à des symptômes menaçant le pronostic vital affectant les ganglions lymphatiques et les organes internes.





Plusieurs études au fil des années ont montré que le cannabis pouvait constituer un nouveau traitement dans la lutte contre le cancer, mais pour une raison quelconque, il était difficile de faire accepter cette information par le public.





Une étude réalisée en 2014 par l’Institut indonésien des sciences médicales (Graduate Institute of Medical Sciences) a conclu que les cannabinoïdes peuvent avoir un effet «anti-prolifératif» sur diverses tumeurs d’origines différentes.





En 2003, Nature Reviews Cancer avait publié une étude indiquant qu’en plus d’offrir des soins palliatifs pour aider les patients atteints de cancer à tolérer la douleur et les nausées associées à la chimiothérapie, les cannabinoïdes semblaient également limiter la croissance des cellules tumorales chez les animaux soumis à l’essai.





Jusqu’à présent, MedC Biopharma a collecté 5 millions de dollars pour le développement de ce médicament, en plus des millions de dollars déjà investis par le président de la société, Avi Drori, et le directeur général, Guy Drori.





On ne sait pas quand exactement ce médicament sera disponible pour les patients qui le considèrent encore à ses balbutiements.





Le produit a été jugé efficace pour détruire les cellules cancéreuses lors de recherches au Centre de recherche agronomique Volcani en Israël – où MedC Biopharma a un accord de licence exclusif – mais n’a pas encore été testé sur les animaux et les humains.





Quoiqu’il en soit, il s’agit d’une avancée médicale et nous sommes impatients de voir ce que ce nouveau traitement pour le cancer de la peau à base de cannabis va fournir.





Article source : https://www.cbdtesters.co/2019/01/04/cannabis-skin-cancer-treatment/


Cannabis médical : 93% des seniors réduisent fortement leurs douleurs chroniques


Les États-Unis font figure de leader dans le développement du cannabis et son accessibilité aux malades. De plus en plus de personnes âgées l’utilisent, et le font savoir. Cannabis médical : 93% des seniors réduisent fortement leurs douleurs chroniques





La consommation de cannabis à des fins médicales a considérablement augmenté ces dernières années et, avec le vieillissement de la population, le cannabis à usage médical est de plus en plus utilisé par les personnes âgées.





Dans cette étude, les chercheurs avaient pour objectif d’évaluer les caractéristiques des personnes âgées utilisant du cannabis à des fins médicales et d’évaluer l’innocuité et l’efficacité du traitement.





Disponible ici, cette évaluation à été réalisée pendant 2 ans, sur près de 3000 patients.





Elle inclue tous les patients âgés de plus de 65 ans ayant reçu du cannabis à des fins médicales de janvier 2015 à octobre 2017 dans une clinique spécialisée dans ce domaine et souhaitant répondre au questionnaire initial.





Les résultats étaient évalués sur l’intensité de la douleur, la qualité de vie et les effets indésirables à six mois.





Au cours de la période d’étude, 2736 patients âgés de plus de 65 ans ont commencé un traitement au cannabis et ont répondu au questionnaire initial. L’âge moyen était de 74,5 ± 7,5 ans.





Les indications les plus courantes d’un traitement au cannabis étaient la douleur (66,6%) et le cancer (60,8%).





Après six mois de traitement, 93,7% des répondants ont signalé une amélioration de leur état et le niveau de douleur signalé a été réduit d’une médiane de 8 sur une échelle de 0 à 10 à une médiane de 4.





Les effets indésirables les plus fréquents ont été: %) et la bouche sèche (7,1%).





Après six mois, 18,1% ont cessé de prendre des analgésiques opioïdes ou ont réduit leur dose.





Notre étude montre que l’utilisation thérapeutique du cannabis est sans danger et efficace chez les personnes âgées. La consommation de cannabis peut réduire l’utilisation d’autres médicaments sur ordonnance, y compris les opioïdes. Il est impératif de collecter davantage de données factuelles, y compris des données provenant d’essais contrôlés randomisés à double insu, dans cette population particulière.


Les Américains pensent que consommer du cannabis est presque aussi «moralement acceptable» que boire


Presque le même nombre d’Américains pensent que consommer du cannabis et boire de l’alcool sont moralement acceptables, selon la dernière enquête Gallup Values ​​and Belief : Les Américains pensent que consommer du cannabis est presque aussi «moralement acceptable» que boire.





La société basée sur la recherche a interrogé les Américains sur l’alcool et le cannabis pour la première fois cette année et a révélé que 65% des Américains jugent que le cannabis est une utilisation éthique.





L’alcool, toujours populaire en Amérique, se situe à 78%. Le sondage annuel de Gallup sur la moralité demande aux Américains d’évaluer leur acceptation de questions sociales controversées telles que la pornographie, l’avortement et les tests sur les animaux.





Les Américains pensent que consommer du cannabis est presque aussi «moralement acceptable» que boire




Alors qu’il provenait d’un sondage différent, un sondage Yahoo News / Marist – présenté en détail par le Washington Post – a révélé que 56% des adultes trouvaient la consommation de cannabis «socialement acceptable» en 2017, de sorte que le chiffre actuel représente un changement important.





Selon Gallup, les Américains sont devenus beaucoup plus libéraux depuis qu’ils ont commencé à interroger le public sur des questions morales en 2001.





Le seul problème plus accepté par les Américains que la consommation d’alcool consiste à prendre le contrôle des naissances, ce que 91% des personnes interrogées trouvent éthique.





Source : https://herb.co/news/culture/gallup-poll-cannabis-use-morally-acceptable/?sf95665611=1


Contact

La grange du cbd

Rue du pont 13,

5300 Andenne

Email: lagrangeducbd@outlook.com

Téléphone: (+32)478362887

T.V.A/ BE0725. 511.795

La grange du cbd décline toutes responsabilités en cas de mésusage de ses produits

 

– by Dim –

Horaires d'ouvertures

  • Lundi: Fermé
  • Mardi: 12h30-18h30
  • Mercredi: 15h00-19h00
  • Jeudi: 12h30-18h30
  • Vendredi: 15h00-19h00
  • Samedi: 12h30-17h30
  • Dimanche: Fermé
Copyright © All Rights Reserved.

This website uses cookies. By continuing to use this site, you accept our use of cookies.