Enquête: Près de la moitié des personnes qui utilisent des produits à base de CBD ne prennent plus de médicaments traditionnels

Enquête: Près de la moitié des personnes qui utilisent des produits à base de CBD ne prennent plus de médicaments traditionnels


Cbd et médicaments traditionnels : selon
un sondage paru aux USA, près de la moitié des américains utilisant des
produits à base de CBD ne prennent plus de médicaments conventionnels





La plus grande enquête sur l’utilisation du cannabidiol ou du CBD à ce jour a montré que les femmes étaient
plus susceptibles que les hommes d’utiliser le CBD et qu’une fois
qu’elles commençaient à l’utiliser, elles risquaient de ne plus utiliser
leur médecine traditionnelle. Cbd et médicaments traditionnels, une
question qui pousse au débat.





Un nouveau sondage mené en 2017 par Brightfield Group et HelloMD a porté sur 2400 membres de la communauté des 150.000 membres d’HelloMD et a exploré en détail l’utilisation des produits CBD et leur efficacité. HelloMD est une communauté en ligne qui rassemble des médecins et des patients de cannabis.





L’étude a interrogé 2 400 des 150 000 membres de la
communauté d’HelloMD sur leur utilisation, leurs connaissances, leurs
perceptions et leurs idées fausses sur le cannabinoïde non-psychotrope,
le CBD, ce qui en fait la plus grande étude du genre. Dans l’ensemble,
l’étude a révélé que les consommateurs de CBD sont très satisfaits de
son efficacité pour traiter une variété de conditions médicales, y
compris l’insomnie, la dépression, l’anxiété et la douleur articulaire.





Accéder au rapport complet





Principales conclusions de l’étude sur le CDB

• Le CBD est le plus souvent utilisé pour traiter l’insomnie, la dépression, l’anxiété et les douleurs articulaires.

42% des utilisateurs de CDB ont cessé d’utiliser des médicaments traditionnels et utilisent maintenant du cannabis à la place.

80% des utilisateurs de CDB ont trouvé que la CBD était très ou extrêmement efficace pour le traitement.

90% des personnes interrogées ont déclaré qu’elles achèteraient des produits exclusivement CBD dérivés du cannabis.





Le cannabidiol est un composé de cannabis non
psychotrope qui ne donne pas aux utilisateurs le sentiment qu’ils sont
fatigués ou sous emprise. Au lieu de cela, il est connu pour avoir des qualités médicinales.





Utilisation du CBD






Contrairement à l’image des hommes qui sont les consommateurs prédominants de cannabis, cette enquête a révélé que 55% des utilisateurs du CBD étaient des femmes, tandis que les hommes préféraient les produits dominants THC.
Brightfield Group, qui a aidé à mener l’enquête, étudie les tendances
de la consommation et les tendances de la demande, et s’engage à fournir
des données précises dans l’industrie du cannabis qui semblent être en
proie à des allégations non étayées. De plus, on peut remarquer que un utilisateur sur 2 vape le CBD (sous forme d’extraction pure et non pas de e-liquide au cristaux de CBD). Enfin, 80% d’entre eux l’utilisent au moins une fois par semaine.





Selon le Dr Perry Solomon, chef de la direction médicale de HelloMD, les raisons les plus courantes étaient le traitement de l’insomnie, de la dépression, de l’anxiété et des douleurs articulaires.





Causes de l'utilisation du CBD






Quarante-deux pour cent des utilisateurs du CBD ont dit qu’ils avaient cessé d’utiliser des médicaments traditionnels comme les analgésiques Tylenol ou des médicaments sur ordonnance comme Vicodin et qu’ils avaient plutôt choisi de consommer du cannabis. Quatre-vingt pour cent ont déclaré avoir trouvé les produits «très ou extrêmement efficaces». Seulement 3% ou moins ont trouvé que le produit était soit inefficace, soit seulement légèrement efficace.





Marché du CBD




L’un des domaines sur lesquels les producteurs de CDB devront
travailler est d’éduquer le consommateur sur les produits CBD : Il
existe plus de 850 marques de produits CBD dérivés du cannabis sur le marché et 150 produits dérivés du chanvre. Huit pour cent des consommateurs interrogés ont admis qu’ils ne savaient pas quel produit CBD ils avaient utilisé.





Utilisation du CBD selon la cause




Concernant les buts de la consommation, les résultats sont
clairs : les causes prépondérantes sont l’anxiété, les insomnie ou les
problèmes de sommeil, la réduction de l’inflammation ou de douleurs
musculaires, et de nombreuses autres.





CBD issus de cannabis médical ou de chanvre ?





En France, les produits comportant du CBD sont tous issus de chanvre, afin de respecter les valeurs législatives sur leur contenu en THC.
Ainsi, de nombreux spécialiste du domaine fustigent cette loi qui ne
permet de proposer des produits au CBD comportant de faibles taux de
THC, baissant ainsi la puissance de l’effet d’entourage d’un spectre complet.





En ce qui concerne les produits CBD dérivés du chanvre aux USA, ce marché a été dirigé par Charlotte’s Web par les Stanley Brothers,
qui ont gagné la notoriété du journaliste CNN Sanjay Gupta. Il a été
suivi par Plus CBD et Mary’s Nutritionals. La plainte des utilisateurs
de chanvre était que c’était moins efficace que le CBD dérivé de la
marijuana et cela pourrait expliquer pourquoi 90% ont dit qu’ils n’achèteraient que du CBD dérivé de la marijuana. Tous les utilisateurs ont préféré le vapotage
pour la consommation suivi de bourgeons de marijuana traditionnels ou
de fleurs avec des comestibles comme troisième choix. Ils ont également
dépensé entre 20 et 80 dollars par mois pour les produits CBD.





Le Dr Solomon a noté que les patients utilisant des vapes ressentent les effets du CBD plus rapidement que s’ils utilisent un produit comestible.
S’ils cherchent un soulagement, ils le veulent rapidement. Toutefois,
dans le cas de l’insomnie, il a dit qu’une méthode de consommation de
vape fonctionne mieux si vous avez du mal à s’endormir, mais si vous
avez du mal à rester endormi, un meilleur choix est comestible. «Cette étude marquante, en termes de taille et de profondeur, montre la grande valeur que ces produits ont pour les patients»,
a déclaré le Dr Solomon, espérant que l’accès à de tels produits aidera
les patients partout au pays qui ne peuvent obtenir de médicaments. qui
contient du THC. ”





Article traduit et modifié, avec pour source https://www.forbes.com/sites/debraborchardt/2017/08/02/people-who-use-cannabis-cbd-products-stop-taking-traditional-medicines/


Le CBD utilisé par les femmes pour soulager leurs douleurs menstruelles


Les douleurs menstruelles ou crampes menstruelles toucheraient environ la moitié de la population féminine mondiale, mais ces femmes touchées par ces douleurs n’ont à disposition que peu de solution pour atténuer ou supprimer ces sensations. De plus en plus d’entre elles mettent en valeur le cannabidiol : Le CBD utilisé par les femmes pour soulager ces gênes.





D’après les récentes statistiques, la moitié de la population humaine féminine serait assujettie aux douleurs menstruelles douloureuses et gênantes, et la plupart d’entre elles se retrouvent dépourvues de solution pour pouvoir atténuer les douleurs, ou du moins les supporter dans la vie de tous les jours. A part attendre et souffrir en silence, peu de solutions naturelles, ne présentant pas d’effets secondaires, existent à l’heure actuelle.





De plus, il est également remarqué que ces personnes souffrantes sont également montrées du doigt lorsqu’elles évoquent leur douleurs, en particularité par la gente masculine, qui ne peut saisir ni comprendre la force de ces gênes.





Solutions pour soulager les douleurs menstruelles





Naturellement, de nombreuses femmes se tournent vers toutes les solutions possibles : le cannabis a longtemps été promu et utilisé pour soulager les douleurs de cette période, y compris par la reine Victoria elle-même . Avec l’explosion des extractions de CBD (Cannabidiol), de nouvelles portes s’ouvrent pour pouvoir traiter ces douleurs.





Désormais, de nombreuses femmes promouvoient l’utilisation du CBD, en particulier pour ce type de douleurs. Même Whoopi Goldberg et Maya Elisabeth vendent maintenant des extraction de CBD destinées à atteindre cet objectif. Certaines femmes trouvent que les «tampons de THC» font l’affaire, mais il y a aussi une autre option : les produits au CBD.





Le CBD utilisé par les femmes pour soulager leurs douleurs menstruelles




Contrairement aux tampons THC, les produits contenant du CBD sous forme d’huile ou de capsules sont beaucoup moins intimidants pour les femmes qui cherchent à traiter ces douleurs, et qui sont totalement novice sur l’utilisation du cannabis. N’étant pas psychotrope comme le THC, le CBD ne propose aucun effet altérant la conscience.
De plus, utiliser du cannabis sous forme de tampon, est une première
utilisation assez compliquée pour bon nombre de débutantes.





Les extraction de CBD pourraient également être une meilleure option pour certaines femmes qui ont un sterilet
(une méthode contraceptive populaire qui empêche les saignements
menstruels mensuels mais pas les crampes et les douleurs abdominales.)





Les huiles ou capsule de CBD disponibles utilisent une combinaison de CBD et d’huile d’olive biologique, permettant une meilleure assimilation du cannabinoïde par votre corps, tout en profitant également des bienfaits des acides gras insaturés des huiles.





Études et utilisations





Un certain nombre d’études ont montré que le cannabis était un
traitement efficace pour certains types de douleur, même si la recherche
traitant directement de la capacité du cannabis à soulager les douleurs
menstruelles fait défaut (principalement en raison d’une interdiction fédérale aux USA par exemple). C’est pourquoi la plupart des pays ayant des lois sur le cannabis médical autorisent l’utilisation du cannabis pour le traitement de la douleur. Bien que la douleur menstruelle ne soit pas mentionnée spécifiquement, il n’y a aucune raison de croire qu’elle devrait être exclue.





Le CBD utilisé par les femmes pour soulager leurs douleurs menstruelles




Lorsque l’on consomme du cannabis, les cannabinoïdes de la plante interagissent avec le système endocannabinoïde de notre corps, plus précisément avec nos récepteurs CB1 et CB2. Des études ont montré que cette interaction entre les cannabinoïdes trouvés dans le cannabis et notre système endocannabinoïde peut aider à gérer la douleur. D’autres études ont trouvé que les récepteurs CB1 et CB2 existent dans les cellules de l’utérus, ce qui signifie que les propriétés analgésiques du cannabis devraient théoriquement fonctionner pour soulager les douleurs menstruelles.





La première utilisation enregistrée du cannabis pour traiter les crampes menstruelles remonte à l’ancienne Mésopotamie, car la reine Victoria consommait des doses mensuelles de teintures de cannabis pour réduire l’inconfort menstruel. Cependant, la recherche portant spécifiquement sur les effets du cannabis sur les crampes menstruelles fait cruellement défaut.





Le CBD utilisé par les femmes pour soulager leurs douleurs menstruelles




Les résultats d’une petite série d’études indiquent l’efficacité du cannabis dans le traitement de la douleur menstruelle chez les personnes atteintes d’endométriose.





De
plus, des études ont déterminé qu’il y a des récepteurs CB1 et CB2 dans
de nombreuses cellules de l’utérus, ce qui suggère que les effets
analgésiques des cannabinoïdes pourraient aider à soulager les malaises
menstruels. 





La recherche montre également que le récepteur CB1 est associé à la gestion de la douleur liée à la dysménorrhée.


Le CBD peut aider à réduire la fréquence des crises d’épilepsie : compilation d’études


Le CBD, présent dans le chanvre, semble pouvoir aider à réduire la fréquence des crises d’épilepsie. Cependant, les preuves à ce jour se limitent au traitement des enfants et des adolescents dont l’épilepsie ne répond pas aux médicaments conventionnels et aux formes rares et graves de la maladie. Le CBD peut aider à réduire la fréquence des crises d’épilepsie : compilation d’études





Entre 70 et 80% des personnes nouvellement diagnostiquées avec l’épilepsie réussissent à contrôler complètement leurs crises en utilisant des médicaments conventionnels tels que le valproate et la carbamazépine, mais cela laisse toujours jusqu’à un tiers de personnes insensibles à ces traitements.





Des recherches préliminaires suggèrent que les composés naturels présents dans le chanvre (cannabinoïdes) peuvent atténuer les convulsions. Et l’un de ces cannabinoïdes, le cannabidiol ou le CBD, semble prometteur pour réduire les crises.





Le CBD peut aider à réduire la fréquence des crises d'épilepsie




Pour
approfondir cette question, les chercheurs ont effectué une
compilation, dans des bases de données de recherche, des études publiées
et non publiées pertinentes sur l’impact potentiel des cannabinoïdes en
tant que complément au traitement habituel des crises d’épilepsie.
Cette étude à été publiée le 06 Mars 2018 dans le Journal of Neurology
Neurosurgery & Psychiatry





Pour identifier les études individuelles examinant les cannabinoïdes pour traiter l’épilepsie, les bases de données électroniques Medline, Embase et PsycINFO, et les registres des essais cliniques: clinicaltrials.gov, le registre des essais cliniques de l’UE (www.clinicaltrialsregister.eu) et le registre australien et néo-zélandais des essais cliniques (ANZCTR) ont été exploitées, en octobre 2017 en utilisant les termes indiqués dans l’encadré 1 de la recherche disponible en fin de page.





Il a également été recherché des listes de références de revues systématiques identifiées comme pertinentes. Les recherches ont été limitées aux études publiées de 1980 au 9 octobre 2017 sur des sujets humains, dans toutes les langues. La recherche Medline est fournie dans des documents complémentaires de l’étude en fin de page.





Sur un tirage initial de 91 études, ils ont trouvé six essais cliniques (555 patients) et 30 études d’observation (2865 patients) qui étaient admissibles à l’inclusion dans leur examen.





Tous les participants, dont l’âge moyen était de 16 ans, présentaient des formes rares d’épilepsie qui n’avaient pas répondu au traitement habituel.





L’analyse groupée des données des essais cliniques a montré que le CBD était plus efficace qu’un médicament placébo pour réduire la fréquence des crises de 50% ou plus et améliorer la qualité de vie.





Le CBD était également plus efficace que le placebo pour éradiquer complètement les crises, bien que cela soit encore rare.





Le CBD peut aider à réduire la fréquence des crises d'épilepsie




Mais le risque d’effets secondaires (étourdissements et somnolence), bien que faible, était significatif – 24% plus élevé – tandis que celui des effets secondaires graves était deux fois plus élevé chez les personnes prenant du cannabidiol.





Nous nous permettons de noter que cela peut s’expliquer par
les nombreuses interactions existantes avec les antiépileptiques, peu
considérées jusqu’à maintenant.





Les données regroupées de 17 des études observationnelles ont montré que la fréquence des crises chutait d’au moins 50% chez un peu moins de la moitié des patients et disparaissait complètement dans près d’un sur 10 (8,5%) dans huit de ces études. La qualité de vie s’est améliorée chez la moitié des patients dans 12 des études.





“Le CBD de qualité pharmaceutique comme traitement
adjuvant dans l’épilepsie pharmacorésistante pédiatrique peut réduire la
fréquence des crises”, concluent les chercheurs. «Les preuves




[randomisées et contrôlées]





existantes se trouvent principalement dans
des échantillons pédiatriques comportant des syndromes épileptiques
rares et sévères; [essais contrôlés randomisés] examinant d’autres
syndromes et cannabinoïdes sont nécessaires.”





Vous pouvez retrouver ici la publication : http://jnnp.bmj.com/content/early/2018/02/05/jnnp-2017-317168


Le cannabis et le cancer : du mythe à la réalité






Le cannabis et le cancer : du mythe à la réalité par herb.co : Le cannabis comme traitement contre le cancer est un sujet hautement polémique. Il y a une grande marge entre l’excitation pour la recherche prometteuse existante et la spéculation imprudente sur le mot Cure. La vérité sur les propriétés du cannabis pour le cancer se situe quelque part entre les affirmations des partisans acharnés et l’intransigeance des sceptiques
: bien que le cannabis n’a pas prouvé être curatif pour le cancer, il
existe des preuves pour soutenir son efficacité à traiter certains types
de cancer.





La recherche sur le cannabis comme traitement anticancéreux a commencé en 1975, quand Albert E. Munson,
chercheur et professeur de pharmacologie et de toxicologie à la
Virginia Commonwealth University, a fait une découverte primordiale. Dans une expérience sur des souris, Munson a découvert que l’administration de certains cannabinoïdes, comme le THC,
inhibait la croissance d’un certain type de cellules tumorales malignes
dans les poumons, connu sous le nom de carcinome pulmonaire de Lewis.
C’était une découverte incroyable, qui méritait d’être approfondie plus
tard, cette fois avec des essais cliniques bien contrôlés impliquant des
humains. Mais c’était aussi une découverte faite quelques années après
que l’ancien président Richard Nixon ait annoncé la «guerre contre la drogue»
du gouvernement américain. Et ce n’est que quelques décennies plus tard
que la recherche sur les propriétés du cannabis à moduler la croissance
des cellules cancéreuses a commencé sérieusement. La plupart de ces recherches proviennent d’autres parties du globe que les USA.





En 2000, une étude de l’Université Complutense en Espagne a démontré que l’administration de THC chez les rats et les souris «induisait une régression considérable des gliomes malins»,
un type de tumeur cancéreuse qui se produit dans le cerveau et la
moelle épinière. Avec la découverte de ce que l’étude a appelé «l’action anti-tumorale des cannabinoïdes»,
les auteurs ont spéculé que les cannabinoïdes pourraient être une
nouvelle approche thérapeutique pour traiter – pas tous – mais ce type
spécifique de cancer.





L’année suivante, ces chercheurs ont mené une autre étude avec des souris sur l’effet thérapeutique des cannabinoïdes
sur les gliomes pour voir si les résultats de leur première étude
seraient soutenus par d’autres recherches. Leur deuxième étude produisit les mêmes résultats prometteurs.





Le cannabis et le cancer : du mythe à la réalité
Un
employé inspecte des plants de cannabis en croissance dans une serre
exploitée par Breath of Life (BOL), à Kfar Pines, en Israël, le mercredi
21 septembre 2016. Breath of Life est l’une des huit entreprises
autorisées à positionner Israël comme plaque tournante mondiale pour la
recherche sur le cannabis médical. Photographe: Rina Castelnuovo /
Bloomberg via Getty Images




Ces recherches n’étaient pas isolés. Une autre étude menée en 2000 par l’Institut de chimie des molécules d’intérêt biologique en Italie a révélé que les cannabinoïdes inhibaient la croissance des cellules cancéreuses du sein et de la prostate.





Puis, dans une étude réalisée en 2003
sur des souris, le centre de recherche sur l’énergie, l’environnement
et la technologie à Madrid, en Espagne, a pu prouvé que les
cannabinoïdes pourraient également être utilisés dans le traitement du cancer de la peau. Une étude de 2006 de l’Université Complutense a corroboré ces résultats.
Cette deuxième étude a montré que l’activation des récepteurs CB1 et
CB2 des souris, qui peut être accomplie en consommant des cannabinoïdes
comme le THC, a réduit la croissance du mélanome, une tumeur généralement associée au cancer de la peau.





La recherche sur les propriétés du cannabis à traiter différents types de cancer a continué ainsi, au cours des années suivantes. Ces études ont trouvé des résultats prometteurs pour l’effet du cannabis sur tous les types de cancer, du cancer du sein au cancer du côlon en passant par le cancer du cerveau.





Mais il y a un élément recurent dans toutes ces recherches: ” Le THC – la molécule psychoactive du cannabis – est un composé anticancéreux chez la souris ainsi que le cannabidiol (CBD) – le composé non psychoactif – explique Raphaël Mechoulam, professeur de chimie médicinale à l’Université hébraïque de Jérusalem en Israël. “Mais ces données doivent être confirmées chez les patients avec des essais cliniques.”





En d’autres termes, malgré toutes les données prometteuses
sur la capacité du cannabis à traiter le cancer chez la souris,
pratiquement aucun essai bien conçu sur l’effet du cannabis sur le
cancer n’a été fait sur les humains.





“Est-ce que je recommande le cannabis comme médicament anticancéreux?
Franchement, je ne sais pas. Dans de nombreux cas individuels, le THC
et l’huile riche en CBD semblent fonctionner, mais jusqu’à ce que nous
obtenions de solides data cliniques, il y aura toujours un grand et gros point d’interrogation », explique Mechoulam.





Comme l’explique le Dr Sunil Kumar Aggarwal,
chercheur spécialisé dans le cannabis et le cancer, à Herb: «Il est
horriblement difficile de mener des recherches sur le cancer. Vous devez avoir beaucoup d’argent et beaucoup d’autorisations. Et tout ça, c’est difficile à trouver et obtenir. C’est le problème de la recherche clinique sur les cannabinoïds ”





Aggarwal a siégé au comité consultatif de rédaction qui, à partir de janvier 2016, a fait des révisions sur le site Web du National Cancer Institute des États-Unis pour inclure le cannabis comme traitement pour les personnes atteintes de cancer. La page du National Cancer Institute sur le cannabis médical traite principalement de la capacité du cannabis à traiter les symptômes du cancer (perte d’appétit, insomnie et nausée), mais aussi des études démontrant le potentiel des cannabinoïdes à inhiber la croissance des cellules cancéreuses.





Aggarwal indique que l’un des principaux obstacles à la recherche sur le cancer est la simple stigmatisation entourant le cannabis.
Une partie de cette stigmatisation, dit-il, provient d’une culture
populaire qui a longtemps peint les partisans de la marijuana comme étant paresseux, stupide et non crédible.
En grande partie créé par la campagne longue et bien documentée du
gouvernement américain pour dépeindre les partisans de la marijuana
comme des criminels et des fous. Certains obstacles proviennent des personnes au sein de la communauté du cannabis,
où les faits mêlés à l’imaginaire et aux croyances conspiratrices sur
les propriétés panacées de la plante sont échangés avec ferveur.





“Mais la stigmatisation est aussi structurelle”, dit Aggarwal, faisant référence à tous les obstacles à l’obtention des approbations gouvernementales nécessaires aux États-Unis pour étudier le cannabis.





Pour étudier le cannabis aux États-Unis, les chercheurs doivent franchir plusieurs obstacles bureaucratiques. Quand ils obtiennent finalement toutes les autorisations nécessaires, ils peuvent seulement étudier le cannabis fourni par une ferme gérée par le gouvernement dans le Mississippi connue pour sa récolte de mauvaise qualité.





Le cannabis et le cancer : du mythe à la réalité
Un
employé inspecte des plants de cannabis en croissance dans une serre
exploitée par Breath of Life (BOL), à Kfar Pines, en Israël, le mercredi
21 septembre 2016. Breath of Life est l’une des huit entreprises
autorisées à positionner Israël comme plaque tournante mondiale pour la
recherche sur le cannabis médical. (Photo par Rina Castelnuovo /
Bloomberg / Getty Images)




C’est pourquoi de nombreuses études existantes sur l’effet du cannabis sur les cellules cancéreuses ont été menées dans d’autres parties du monde, comme l’Espagne et Israël. Mais les autres pays ne sont pas toujours libres de rompre avec la position intransigeante du gouvernement américain sur le cannabis.





Les États-Unis ont longtemps influencé les lois internationales sur la drogue, poussant d’autres pays à adopter des politiques aussi strictes sur la marijuana et d’autres drogues. L’influence des États-Unis sur les lois antidrogues d’autres pays a même été ressentie récemment en Israël – un pays largement considéré comme pionier dans la recherche sur la marijuana – lorsqu’un simple appel téléphonique du président Trump a persuadé le Premier ministre Netanyahu de suspendre les exportations israéliennes de cannabis. Pourtant cela aurait grandement facilité la tâche des chercheurs américains.





Pourtant, Aggarwal croit qu’il y a des raisons d’être optimiste. Il souligne une étude de 2017 qui, selon lui, ouvrira la voie à de futures recherches
sur l’effet du cannabis sur les humains atteints de cancer. Cette étude
randomisée en double aveugle et contrôlée par placebo – la référence
des essais dans la communauté médicale – a examiné les effets d’un
médicament oral à base de cannabis (contenant du THC et du CBD)
parallèlement à la consommation de Témozolomide (un médicament de
chimiothérapie orale), chez les patients atteints de glioblastome
multiforme (GBM) récurrent, un type de cancer du cerveau.





L’étude a révélé que 83% des patients en phase terminale
prenant le médicament à base de cannabis vivaient pendant un an,
comparativement à 44% du groupe placebo. «Ils appellent cela l’étude de
preuve de concept, qui a vraiment aidé à montrer pour la première fois
dans un essai clinique bien contrôlé que l’ajout d’un extrait de
cannabis permettait aux gens de vivre plus longtemps avec un cancer
terminal du cerveau», explique Aggarwal. “Cela a été très long à venir.”





Bien que cette étude ne démontre certainement pas que le cannabis soit le «remède» que certains espéreraient, ces résultats donnent aux promoteurs du cannabis médical une raison d’être optimiste. Le cannabis a été utilisé pendant des années pour traiter avec succès les symptômes des patients atteints de cancer,
tels que les nausées, les vomissements et la douleur. Et maintenant, il
semble plausible que le cannabis puisse être utilisé pour ralentir la
progression de certains types de cancers aussi.





Au moins, c’est ce que suggéreraient les preuves. Mais
malheureusement, tant que la recherche sur le cannabis est
laborieusement difficile à mener, une réponse concrète sur les effets du
cannabis sur les cellules cancéreuses humaines restera juste: une
collection de preuves convaincantes, toujours suggérant, mais ne
confirmant jamais la promesse.





Auteur : Rob Hoffman





Source : https://herb.co/marijuana/news/cannabis-cancer-treatment-research






Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître


En utilisant la base de données pubmed qui répertorie le plus d’articles scientifiques, les études des 40 dernières années ont été comptabilisées afin de pouvoir proposer des statistiques d’ensemble très intéressantes :





Les articles scientifiques et recherches sur le CBD





Depuis 1963, début des recherches sur les cannabinoïdes, initiées en partie par le professeur Mechoulam, les études sur le CBD (Cannabidiol) n’ont cessé d’augmenter, trouvant leur apogée après les années 2010, ou l’intérêt scientifique pour le CBD n’a cessé de croître :





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




Ainsi, sur les 30 dernières années, on peut observer une multiplication par 10 du nombre d’articles sur le CBD, entre le début des années 90 et la dernière décennie :





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




La dernière décennie à été la plus forte en terme d’études et d’articles scientifiques sur le cannabidiol, ou près de 60.3% d’entre elles ont été réalisées :





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




Les articles scientifiques et recherches sur les cannabinoïdes





On retrouve ici, en évoquant les articles et recherches sur les
cannabinoïdes dans leur ensemble, la même courbe d’évolution que sur le
CBD. En effet, à partir des années 2000, la recherche n’a cessé
d’augmenter, en particulier à partir du début du XXIème siècle :





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




Concernant les 30 dernières années, contrairement au CBD, les article sur les cannabinoïdes sont très nombreux depuis déjà les 20 dernières années :





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




Les articles scientifiques et recherches sur les endocannabinoïdes





Crées par notre organisme, les endo-cannabinoïdes sont des cananbinoïdes endogènes. Peu étudiés jusqu’à dernièrement, il semblent susciter l’intérêt des chercheurs et promettre de nous aider à mieux comprendre l’action des cannabinoïdes et leur effet sur nos récepteurs attitrés.





La compréhension du système endocannabinoide est primordiale pour comprendre certains mécanismes de la physiologie humaine, car il est ubiquitaire au sain de notre organisme, et il est impliqué dans la régulation de nombreux mécanismes cellulaires immunitaires tels que la neurotransmission et l’inflammation. Malheureusement il est/a été trop souvent oublié.





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




Seules les deux dernières décennies ont vu les articles sur les endo-cananbinoïdes se développer :





Les études scientifiques sur les cannabinoïdes ne cessent de croître




Ces chiffres, très intéressants, sont plus qu’éloquents : il existe  désormais un véritable intérêt pour les chercheurs et scientifiques à comprendre et expliquer les bénéfices des cannabinoïdes et leur action sur notre organisme.





Il est donc primordial, pour les patients et personnes en souffrance, de mettre en valeur ces résultats bénéfiques issus d’études scientifiques, au service de notre médecine et de notre corps médical.





A l’heure où de nombreux acteurs du CBD se définissent comme activistes mais ne sont sur le marché que par simple but lucratif, il est temps de réguler
l’utilisation des cannabinoïdes en France, tant sur le plan qualitatif
que sur la manière d’approvisionnement pour les patients.





Aujourd’hui, la majorité des pays européens ont donné la possibilité à
leurs patients d’accéder aux cannabinoïdes et de choisir la façon dont
ils veulent se soigner. Pourquoi pas nous ?


Effets du CBD sur les symptômes psychologiques et la fonction cognitive chez les utilisateurs réguliers de cannabis


La consommation chronique de cannabis a été associée à une cognition altérée et à des symptômes psychologiques élevés, en particulier des expériences de type psychotique. Alors que le Δ9-tétrahydrocannabinol (THC) serait principalement responsable de ces effets délétères, le cannabidiol (CBD) aurait des propriétés antipsychotiques et améliorerait les troubles cognitifs, symptomatiques et cérébraux
chez les consommateurs de cannabis. Cependant, cela n’a jamais été
testé dans un essai d’administration prolongée chez des utilisateurs de
cannabis autrement en bonne santé. Cette  étude, publiée le 1er Mars 2018 et réalisée par une équipe de chercheur australiens,
est la première étude prolongée de CBD à un échantillon communautaire
d’utilisateurs réguliers de cannabis dans un essai pragmatique, étudiant
les effets restaurateurs potentiels du CBD sur les symptômes psychologiques et la cognition : Effets du CBD sur les symptômes psychologiques et la fonction cognitive chez les utilisateurs réguliers de cannabis





Effets du CBD sur les symptômes psychologiques et la fonction cognitive chez les utilisateurs réguliers de cannabis




Vingt utilisateurs fréquents de cannabis (16 hommes, âge médian 25 ans) ont subi un essai ouvert de 10 semaines, via 200 mg de traitement quotidien par CBD, tout en continuant à consommer du cannabis comme d’habitude. La majorité des participants étaient des consommateurs quotidiens de cannabis qui avaient consommé du cannabis pendant plusieurs années (médiane 5,5 ans d’utilisation régulière). Les participants ont subi des évaluations psychologiques et cognitives au départ et post-traitement, et ont été contrôlés chaque semaine tout au long de l’essai.





Dix semaines de 200 mg de CBD par jour ont été bien tolérées, sans effets secondaires pendant ou après l’étude. Dans cet essai pragmatique, les consommateurs de cannabis ne cherchaient pas de traitement et continuaient leur consommation régulière de cannabis pendant l’étude sans restriction.





Le CBD a été bien toléré et n’a pas rapporté d’effets secondaires; Cependant, les participants ont rétrospectivement signalé une euphorie réduite lorsqu’ils fumaient du cannabis. Aucune atteinte à la cognition n’a été trouvée, ni aucun effet délétère sur la fonction psychologique. Fait
important, les participants ont rapporté significativement moins de
symptômes dépressifs et de type psychotique à post-traitement par
rapport à au départ, et ont montré des améliorations dans le changement
d’attention, l’apprentissage verbal et la mémoire.
L’augmentation des concentrations plasmatiques de CBD était associée à des améliorations du contrôle attentionnel et à des changements bénéfiques dans les symptômes psychologiques. Des bénéfices plus importants ont été observés chez les utilisateurs de cannabis dépendants que chez les non-dépendants.









Il faut être prudent dans l’interprétation des résultats de cet essai ouvert, car il n’a pas été contrôlé par placeboNéanmoins,
les résultats suggèrent que le traitement du CBD peut conférer des
avantages pour la santé mentale et la fonction cognitive qui sont
probablement spécifiques au traitement du CBD, car des corrélations ont
été observées avec les concentrations plasmatiques de CBD.





De plus, ces résultats bénéfiques ont été observés dans le contexte
même de la consommation continue de cannabis. Dans un contexte de
traitement pour les consommateurs de cannabis qui cherchent à
réduire leur consommation de cannabis, l’utilisation de CBD en plus des
traitements psychologiques pour la dépendance au cannabis peut conférer
des avantages encore plus importants.
Cette prémisse est basée sur les prédicats suivants:





  • les utilisateurs de cannabis de cette étude ont déclaré éprouver moins
    d’euphorie lorsqu’ils ont fumé du cannabis, à la fois subjectivement
    tout au long de l’essai et tel que mesuré par le CEQ. Alors que
    l’utilisation de cannabis dans cette étude n’a pas augmenté en compensation,
    ni diminué, dans un échantillon de recherche de traitement motivé pour
    réduire ou arrêter d’utiliser, avec un traitement psychologique de
    soutien, l’euphorie réduite peut faciliter la dissuasion de continuer à utiliser;
  • des effets bénéfiques plus importants du CBD ont été observés chez
    les utilisateurs dépendants que chez les non-dépendants. Ce résultat
    indique la probabilité que le CBD confère de plus grands effets thérapeutiques dans un état pathologique / un cerveau compromis.




Par exemple, il a récemment été rapporté des effets
osmoprotecteurs thérapeutiques du CBD dans un modèle préclinique de
schizophrénie, où le CBD n’avait aucun effet sur la cognition ou
l’interaction sociale (les symptômes négatifs de la schizophrénie) chez
les animaux témoins.





Effets du CBD sur les symptômes psychologiques et la fonction cognitive chez les utilisateurs réguliers de cannabis




Avoir un trouble lié à l’usage de cannabis a montré une réduction significativement plus importante des symptômes
et une meilleure cognition que les utilisateurs non dépendants. Fait
intéressant, la gravité de la dépendance au cannabis et les scores AUDIT
ont tendance à diminuer chez les utilisateurs dépendants seulement. Les utilisateurs dépendants ont également semblé absorber ou métaboliser le CBD différemment des utilisateurs non dépendants, mais les effets thérapeutiques du CBD se sont maintenus après contrôle de leurs concentrations moyennes plus faibles de CBD dans le plasma.





Avec les découvertes antérieures suggérant la protection
des lésions cérébrales par le CBD, les données actuelles permettent
d’espérer que même si les consommateurs de cannabis ne cessent pas
d’utiliser du cannabis dans le cadre d’interventions psychologiques pour
la dépendance au cannabis, un traitement complémentaire peut réduire au
minimum l’utilisation continue. Il se peut que la plus grande
efficacité soit atteinte avec le traitement du CBD et l’abstinence de
cannabis.





Source de l’étude : https://www.liebertpub.com/doi/full/10.1089/can.2017.0043


Le CBD peut être utilisé contre l’anxiété et la dépression sans altérer le sommeil


Le CBD est désormais reconnu, étudié et de plus en plus utilisé pour réduire l’anxiété et la dépression. Cependant, on sait que de nombreux anxiolytiques et antidépresseurs interfèrent avec le sommeil. Une nouvelle étude vient d’être publiée sur le sujet, et d’après les résultats, on peut penser que le CBD peut être utilisé contre l’anxiété et la dépression sans altérer le sommeil.





C’est une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université de São Paulo, au Brésil, et publiée le 5 Avril 2018 sur la base scientifique pubmed.gov que vous pouvez retrouver en cliquant ici, qui nous le démontre. Le but de la présente étude était d’évaluer l’effet d’une dose cliniquement anxiolytique de CBD sur le cycle sommeil-éveil de sujets sains.





Le CBD peut être utilisé contre l'anxiété et la dépression sans altérer le sommeil




Les différents médicaments anxiolytiques et antidépresseurs ( comme par exemple les benzodiazépines ) provoque de nombreux troubles du sommeil. Cela s’explique par leur action d’inhibition de recapture naturelle de la sérotonine.





L’étude mise en place par les scientifiques brésiliens à utilisé une base de 27 volontaires sains, qui ont reçu, soit du CBD (300mg), soit un placebo. Afin de valider scientifiquement les résultats, l’étude à été menée en double aveugle.





Dans la deuxième nuit, la même procédure a été effectuée en utilisant la substance qui n’avait pas été administrée lors de la nuit précédente. Le CBD ou le placebo
ont été administrés 30 min avant le début des enregistrements de
polysomnographie (enregistrement simultané de plusieurs
caractéristiques) qui ont duré 8 heures. Au cours de la polysomnographie, un certain nombre de paramètres liés au sommeil sont mesurés, y compris les mouvements des jambes, les mouvements oculaires et l’activité électrique du cerveau.





Le CBD peut être utilisé contre l'anxiété et la dépression sans altérer le sommeil




Le CBD n’a pas induit d’effet significatif, d’après les chercheurs :





Contrairement aux médicaments anxiolytiques et
antidépresseurs tels que les benzodiazépines et les inhibiteurs
sélectifs de la recapture de la sérotonine, l’administration aiguë d’une
dose anxiolytique de CBD ne semble pas interférer avec le cycle du
sommeil des volontaires sains. Les présents résultats soutiennent la
proposition que le CBD ne modifie pas l’architecture normale du sommeil.





Il semble donc que le Cannabidiol, de plus en plus reconnu aujourd’hui pour son action sur l’anxiété et la dépression, puisse, contrairement aux médicaments chimiques, permettre de conserver un sommeil sain.


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