Le cannabis (Cannabis L.)

Le cannabis (Cannabis L.)


genre botanique qui rassemble des plantes annuelles de la famille des Cannabaceae. Ce sont toutes des plantes originaires d’Asie centrale ou d’Asie du Sud. La classification dans ce genre est encore discutée. Selon la majorité des auteurs il contiendrait une seule espèce, le Chanvre cultivé (Cannabis sativa L.), parfois subdivisée en plusieurs sous-espèces1, généralement sativa, indica et ruderalis (syn. spontanea), tandis que d’autres considèrent que ce sont de simples variétés. Les plantes riches en fibres et pauvres en Tétrahydrocannabinol (THC) donnent le « chanvre agricole » qui pousse dans les zones tempérées, exploité pour ses sous-produits (fibres, graines…) aux usages industriels variés, tandis que le « chanvre indien », qui pousse en climat équatorial, est au contraire très riche en résine et exploité pour ses propriétés médicales et psychotropes.





















De nombreuses lignées de cannabis sont, en outre, obtenues par hybridation entre sous-espèces ou variétés du genre, par sélection des plantes ou encore par le bouturage qui permet de les cloner à l’identique. Ainsi les plants sont triés en fonction de l’usage que l’on souhaite en faire ou de la législation locale : qualité de leurs fibres, richesse en huile de leurs graines (chènevis), leur faible taux de THC ou, au contraire, leur concentration élevée en cannabinoïdes dans le cadre des usages médicaux ou comme drogue.





Le chanvre fut très largement utilisé au cours de son histoire. Il côtoie l’être humain depuis le Néolithique. Il a toutefois été peu à peu réglementé voire interdit au cours du XXe siècle, en raison de ses propriétés psychotropes et des effets du cannabis sur la santé. La culture du chanvre agricole connaît un rebond dans les années 1970, parallèlement à l’augmentation du prix du pétrole, favorisée également par l’émergence de nouveaux débouchés et la prise de conscience environnementale. Comptant 47 000 hectares cultivés en 2017, le Maroc est le principal producteur de cannabis au monde, devant la Mongolie (15 000 hectares).





Le cannabis récréatif est considéré comme une drogue douce, notamment du fait de l’impossibilité de faire une overdose de THC. Une dépendance psychique au cannabis reste possible, mais non physique comme dans le cas des drogues dites dures. Des études ont également montré qu’une consommation régulière de cannabis chez l’adolescent induit une baisse irréversible de QI et favorise l’apparition de troubles psychotiques. L’usage récréatif du cannabis est aujourd’hui autorisé dans plusieurs États américains, ainsi qu’en Uruguay et au Canada, qui est en juin 2018 le premier pays du G7 à voter sa légalisation. Selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, 180 millions de personnes ont consommé au moins une fois du cannabis à usage récréatif en 2017.





Description de cette image, également commentée ci-après




Le mot « chanvre » est dérivé du latin cannabis2. Lui-même est la translittération de l’arabe « قنب »3, kunneb.4. Ce mot a donné son nom scientifique au genre botanique Cannabis, mais aussi dans le langage courant au « cannabis » récréatif.





Les espèces ou sous-espèces du genre botanique Cannabis sont désignées en français par des noms différents selon l’usage qui en est fait. Ainsi, au XXIe siècle, les acteurs de la filière du chanvre qui produisent des variétés de Cannabis à usage industriel préfèrent utiliser les appellations « chanvre », « chanvre cultivé », « chanvre agricole », « chanvre d’œuvre » ou d’ouvrage… Tandis que pour les variétés de Cannabis à usage récréatif, on utilise de préférence la terminologie latine empruntée à la nomenclature botanique : « cannabis », « sativa », « indica », « ruderalis »5 ou « afghanica », ainsi que des appellations plus traditionnelles comme « chanvre indien » ou « chanvre afghan ».





En ce qui concerne l’agriculture, le « chanvrier », ou la « chanvrière », est la personne qui travaille le chanvre, mais une « chanvrière » peut aussi désigner une coopérative de producteurs ou un champ de cette plante. On disait aussi le « chanvreur » pour celui qui en broyait les tiges et le « ferrandier » pour désigner le peigneur de chanvre qui séparait les fibres. On utilisait un four à chanvre pour le séchage. Un champ de chanvre s’appelle ainsi une « chanvrière », mais on parle aussi de « chènevière », ou encore de « canebière » dans le sud de la France, à l’origine du nom de l’artère du centre de Marseille (du provençal « canèbe », qui signifie « chanvre »)6.





En botanique, le chènevis est la graine de chanvre et la chènevotte sa tige centrale dépourvue d’écorce.





Le fait de cultiver clandestinement du chanvre en pleine nature à l’abri des regard s’appelle la « culture guérilla », traduction littérale de l’expression anglaise guerilla grow. Les auteurs d’une culture guérilla sont appelés « guerilleros » et le lieu de culture un « spot guerilla »[réf. nécessaire].





Les cannabinoïdes sont les substances chimiques produites par des glandes spécialisées présentes sur toutes les parties aériennes de la plante. La marijuana regroupe les fleurs séchées sélectionnées pour leur taux élevé en THC ou autres cannabinoïdes, tandis que le haschich est la résine pure issue du chanvre femelle, préparée en pâte, et le skuff est un autre dérivé manufacturé du cannabis obtenu par un tamisage plus grossier que le haschich.





Un grand nombre de surnoms allégoriques sont donnés familièrement aux différents sous-produits à usage récréatif dérivés des Cannabis sp., destinés à les distinguer de l’usage agricole et dont la variété et le caractère exotique ou temporaire sont amplifiés dans le contexte d’une pratique clandestine2.





Dans un autre registre familier, la « cravate de chanvre » désigne par métonymie la corde de la potence2.










Différents Cannabis






Nomenclature et systématique





Les auteurs poursuivent les recherches et les analyses au XXIe siècle pour déterminer si les grands types de chanvre traditionnellement identifiés sont répartis en espèces ou bien en sous-espèces, auxquelles il faut ajouter les multiples variétés ou cultivars obtenus par croisement ou par sélection progressive de ces supposées espèces (voir la liste des lignées de cannabis).





Selon la majorité des auteurs, ce genre contiendrait une seule espèce, le Chanvre cultivé (Cannabis sativa L.), subdivisée en plusieurs sous-espèces, généralement subsp. sativa, subsp. indica et subsp. ruderalis (syn. spontanea)7,5. Toutefois certains auteurs mentionnent encore plusieurs espèces : Cannabis indica, Cannabis ruderalis, etc.





Cette division est discutable : certains ne considèrent pas les différences entre les espèces ou les sous-espèces comme suffisamment importantes et estiment que ce sont toutes de simples variétés botaniques de Cannabis sativa.





On peut néanmoins différencier quatre phénotypes bien distincts8 : « sativa », « indica », « ruderalis » et « afghanica ».









liste d’espèces, sous-espèces ou variétés









Différence entre les principales plantes du genre Cannabis





Les études du début du XXIe siècle tendent à regrouper toutes les formes de la plante dans une seule espèce, Cannabis sativa L., mais selon les époques et les auteurs, le nombre d’espèces distinctes, sous-espèces ou variétés diffère.





Selon GRIN (10 octobre 2018)9 et ITIS (10 octobre 2018)10 :









Selon Catalogue of Life (10 octobre 2018)11 :









Selon BioLib (10 octobre 2018)12 :









Espèces et synonymes selon Tropicos





Selon Tropicos (10 octobre 2018)13 (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :









Principaux phénotypes





On peut différencier quatre phénotypes bien distincts8





Chanvre cultivé ou « sativa »





Article connexe : Cannabis sativa.





Sativa jamaïcaine




Sativa jamaïcaine destinée à être fumée.





Sativa réunionnaise




Jeune plant de Sativa exposé au Jardin d’Éden, à La Réunion.





Le phénotype dit Cannabis sativa L. est synonyme de Cannabis sativa subsp. sativa. C’est une plante appelée dans le langage commun, selon son usage, chanvre cultivé ou sativa14. Elle provient des régions équatoriales. Elle atteint en quelques mois une hauteur de plusieurs mètres et jusqu’à plus de six mètres). Les folioles de ses feuilles sont fines et la plante est peu ramifiée. Sa tige est souple et creuse. Son cycle de vie est plus long que celui des autres sous-espèces, sans doute à cause de la photopériode des régions équatoriales.





Cette plante est réputée pour ses fibres, elle a largement été utilisée dans le passé et l’est encore à l’époque actuelle pour les multiples applications qu’elle permet (tissus, construction, cosmétique, isolation phonique et isolation thermique, huiles, cordages, litières, combustibles, papeterie, alimentation humaine, alimentation animale, agrocarburants, usage médicamenteux, usage récréatif, matériaux composites en association avec des matières plastiques…). Les semenciers travaillent par exemple à la création de cultivars sélectionnés génétiquement et qui constituent le chanvre cultivé légalement15. Le but est de réhabiliter la filière chanvre afin de répondre aux nouveaux défis énergétiques et environnementaux. Ces cultivars font l’objet d’un programme de sélection génétique intensif afin de minimiser leur teneur en THC.









Chanvre indien ou « indica »





Article connexe : Cannabis indica.









Cannabis indica M-39.





Le phénotype Cannabis indica Lam. est synonyme de Cannabis sativa subsp. indica (Lam.) E.Small & Cronquist, ou de Cannabis sativa L. var. indica (Lam.) Wehmer. Elle est couramment appelée chanvre indien16. La plante est originaire des régions himalayennes du nord de l’Inde. Le chanvre indien est réputé essentiellement pour ses propriétés psychotropes mais également dans une moindre mesure pour sa fibre. Une rumeur populaire prétend à tort que c’est la seule sous-espèce qui se fume. Certains prétendent que, comme psychotrope, elle procure davantage un effet « stoned »17 comparé au Cannabis sativa. C’est un effet plus lourd, plus corporel, voire soporifique, plutôt qu’un effet « high », plus cérébral, et davantage associé aux sativas.





Sa concentration en principes actifs dépend du climat et de l’environnement dans lesquels la plante a évolué18. Elle se caractérise physiquement par des pales larges, une ramification assez importante et une stature moyenne qui ne dépasse jamais les trois mètres. Sa floraison est plus précoce que Cannabis sativa L. subsp. sativa, raison pour laquelle elle est davantage appréciée en culture récréative. Sa tige est souple et presque pleine.









Chanvre sauvage ou « ruderalis »





Article connexe : chanvre sauvage.









Chanvre sauvage





Le phénotype Cannabis ruderalis Janisch est synonyme de Cannabis sativa subsp. spontanea, ou de Cannabis sativa var. ruderalis (Janisch.) S.Z.Liou. Il est appelé couramment chanvre sauvage19. Elle est caractérisée par sa floraison précoce. Certaines populations sont insensibles à la photopériode. Elle supporte des climats assez froids et des conditions environnementales difficiles. Comme Cannabis afghanica, sa stature est petite ne dépassant pas les 1 m de hauteur et n’est pratiquement pas ramifiée, souvent à tige unique. La plante entre dans la création d’hybrides pour augmenter la précocité du chanvre à usage récréatif. Il ne possède en lui-même que de très faibles effets psychotropes. La teneur en THC n’excède pas les 0,5 %.





Le chanvre sauvage pousse à l’état sauvage en Europe centrale et en Europe de l’Est où il est considéré comme une « mauvaise herbe ». On le rencontre fréquemment en bordure des routes, des champs et des rivières. Le chanvre sauvage poussait à l’origine dans le Sud-Est de l’ancienne Russie. On pense que ce sont les Scythes qui l’ont diffusé en Asie notamment en Mongolie. Il est actuellement, naturalisé depuis l’Europe centrale jusqu’en Chine.





Chanvre afghan ou « afghanica »





Le phénotype Cannabis afghanica est synonyme de Cannabis kafiristanica (Vavilov) Chrtek ou de Cannabis sativa subsp. kafiristanica ou encore de Cannabis sativa var. kafiristanica (Vavilov) E.Small & Cronquist). Il est appelé couramment chanvre afghan20. Le Kafiristan, nom d’une province afghane, signifie littéralement « pays des infidèles ». Le Kafiristan est une province isolée dans les montagnes de l’Hindu Kush qui a récemment été renommée Nurestân. Elle est appelée ainsi car d’autres sous-espèces poussent en Afghanistan, souvent dérivées du chanvre indien, et sont souvent appelées abusivement chanvre afghan [pas clair] 21[réf. incomplète].





Le chanvre afghan est cultivé essentiellement dans les montagnes du Pakistan et de l’Afghanistan, milieu auquel il est bien adapté. La plante ne dépasse jamais les 1,50 m de hauteur. Il est à peine plus grande que le chanvre sauvage mais contrairement à ce dernier il possède un important taux de THC. Il est cultivée exclusivement pour la production de haschich, sa petite taille le rendant impropre à une utilisation textile. Il présente de nombreuses ramifications comme le chanvre indien, mais la distance entre les nœuds est beaucoup plus faible. À maturité ses feuilles sont beaucoup plus longues que C. indica, atteignant la dimension de celles de C. sativa mais plus large et avec le même ratio longueur/largeur que C. ruderalis. C’est le seul type de Cannabis à avoir un tronc nervuré et solide. Ces caractéristiques intermédiaires sont peut-être la trace d’une origine hybride ancienne fixée.









Description botanique





Les espèces du genre Cannabis sont des plantes annuelles de la famille des Cannabaceae. Ce sont toutes des plantes originaires d’Asie centrale ou d’Asie du Sud.





Les Cannabis ont un système de détermination sexuelle particulièrement compliqué. Plusieurs modèles ont été proposés pour expliquer ce fonctionnement. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?





  • Plant de chanvre sauvage.
  • Revers d’une feuille montrant les nervures.
  • Vue en coupe latérale du système racinaire.
  • Vue aérienne du système racinaire.
  • Coupe d’une tige.
  • Tige avec mise en évidence des fibres et de la chènevotte (moelle).
  • Coupe microscopique de C. sativa (à gauche) et C. indica (à droite).




message galerie Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.





  • Fleurs mâles de Cannabis sp.
  • Fleurs femelles de Cannabis sp.
  • Fruits (achènes) de Cannabis sp. contenant les graines : le chènevis.
  • Graines décortiquées.




Cannabinoïdes dans la plante





Plus de soixante cannabinoïdes sont recensées dans les différents cultivars. Le tétrahydrocannabinol (THC), le cannabidiol (CBD) et le cannabinol (CBN) sont les plus répandues. Leur biosynthèse se fait dans des glandes spécialisées présentes sur toutes les parties aériennes de la plante. Le développement de ces glandes débute avec la formation des bractées.





Les facteurs régulant la production de cannabinoïdes ne sont que partiellement connus. Bien qu’il soit prouvé que le stress environnemental augmente de manière importante la quantité de Δ 9-tetrahydrocannabinol (Haney and Kutscheid, 1973; Coffman and Gentner, 1975)22, une théorie plus générale est que les aspects qualitatifs dépendent de la génétique de la plante et que les aspects quantitatifs sont influencés par des facteurs environnementaux (Fairbairn and Liebmann, 1974 ; Latta and Eaton, 1975)22. Les cannabinoïdes jouent le rôle d’agents défensifs, contre la dessiccation, les parasites, les UV-B, le froid et les microbes23.






















Les Américains pensent que consommer du cannabis est presque aussi «moralement acceptable» que boire


Presque le même nombre d’Américains pensent que consommer du cannabis et boire de l’alcool sont moralement acceptables, selon la dernière enquête Gallup Values ​​and Belief : Les Américains pensent que consommer du cannabis est presque aussi «moralement acceptable» que boire.





La société basée sur la recherche a interrogé les Américains sur l’alcool et le cannabis pour la première fois cette année et a révélé que 65% des Américains jugent que le cannabis est une utilisation éthique.





L’alcool, toujours populaire en Amérique, se situe à 78%. Le sondage annuel de Gallup sur la moralité demande aux Américains d’évaluer leur acceptation de questions sociales controversées telles que la pornographie, l’avortement et les tests sur les animaux.





Les Américains pensent que consommer du cannabis est presque aussi «moralement acceptable» que boire




Alors qu’il provenait d’un sondage différent, un sondage Yahoo News / Marist – présenté en détail par le Washington Post – a révélé que 56% des adultes trouvaient la consommation de cannabis «socialement acceptable» en 2017, de sorte que le chiffre actuel représente un changement important.





Selon Gallup, les Américains sont devenus beaucoup plus libéraux depuis qu’ils ont commencé à interroger le public sur des questions morales en 2001.





Le seul problème plus accepté par les Américains que la consommation d’alcool consiste à prendre le contrôle des naissances, ce que 91% des personnes interrogées trouvent éthique.





Source : https://herb.co/news/culture/gallup-poll-cannabis-use-morally-acceptable/?sf95665611=1


Beurre de cannabis


On compte généralement :





-1 gr de feuilles pour 1 gr ou 2gr de beurre. (Testé avec 1gr pour 1gr et c’est très puissant)





-1 gr de tête pour 5 gr de beurre.





Tout en sachant que moins vous utiliserez de beurre, plus la couche solide qui se formera à la surface de l’eau sera fine et difficile à récupérer !





Prenez 100 grammes de feuilles de cannabis et 200 grammes de beurre…





Il faut compter 20% de beurre perdu lors de l’opération.





Débarrassez l’herbe des grosses tiges, des graines et feuilles malades.





Afin d’éliminer les colorants et les agents de saveur fort désagréables, sans pour autant altérer les cannabinoïdes, hachez l’herbe (si ce sont des feuilles pas besoins), jetez-la dans l’eau bouillante et remuez pendant dix minutes.





Egouttez-la, sans la presser.





Puis faites à nouveau bouillir de l’eau, en y ajoutant, cette fois-ci, le beurre et l’herbe “rincée”, et laissez bouillir vingt à vingt-cinq minutes, en remuant.





Munissez-vous ensuite d’un linge propre et solide (essuie de vaisselle en “coton” par exemple faire attention que certain tissus ou essuie sont “étanche”), que vous posez sur une passoire. Filtrez le liquide et pressez l’herbe, afin de recueillir tout le jus.





Il faut presser tant que la décoction est encore chaude, au risque de vous brûler les mains, (ça crame bien, mieux vaux utiliser des gants de vaisselle)





mais c’est le prix à payer pour récolter les précieux cannabinoïdes réfugiés au cœur de la masse végétale !





Enfin, versez le bouillon dans un récipient étroit et haut, laissez refroidir une soirée sans y toucher et ensuite mettez-le au frigo pour une nuit.





Le lendemain une pellicule solide de beurre se sera formée à la surface du bouillon,





Cette couche de matière grasse que vous récupérez à l’aide d’un couteau et d’une écumoire s’appelle désormais : Beurre de Marrakech ….!!





Si vous disposez d’une bonne quantité de matière première, profitez-en pour confectionner une grosse motte de beurre, que vous pourrez stocker dans votre congélateur. (astuce : utiliser un bac à glaçon pour avoir de petite portion prête à l’emploi)





Ce qui vous évitera de transformer votre cuisine en champ de bataille trop souvent !













Conseil relatif au beurre





-Recette pour éviter le gaspillage de cannabinoïde : Pour 4 personnes, porter un litre de lait coupé avec un peu d’eau à ébullition puis y jeter les boules compressées et remuer à feu doux pendant 15min. Filtrer le lait (dans le même tissus utilisé que pour le beurre ainsi la matière grasse du tissus est récupéré). Ensuite faire un flan ou du chocolat chaud ou autre ;-).





-A l’exception des racines, l’intégralité de la plante (fraîche ou séchée) peut donc être recyclée





-Pour fabriquer le beurre il vaut mieux être deux, (pour la partie pressage surtout si on en a beaucoup) ou alors presser petite boule par petite boule.





-être à jeun est une condition nécessaire pour avoir les pleins effets (mais n’est pas une obligation)





L’ingestion du cannabis modifie ses effets, leur intensité et la durée du voyage. Il surprend même les fumeurs expérimentés, pour cette raison ne laissez pas vos sucreries cannabiques à portée de non-fumeurs pouvant les goûter par inadvertance, les conséquences peuvent être graves et l’expérience très mauvaise. Attention également aux animaux de compagnie qui ne doivent en aucun cas y avoir accès.





Contrairement au cannabis fumé, les effets du beurre sont longs à se faire sentir, pour cette raison évitez les prises massives. Après une heure on sentira le potentiel du produit et pourra (ou non) en manger davantage.





De même, ce trip peut durer jusqu’à douze heures, il ne peut pas être envisagé à n’importe quel moment de la journée ni n’importe où. Evitez les situations stressantes, préférez-y la nature, un weekend festif ou autres bonnes vibrations.





Attention : les spaces cakes sont comme les pires bombes : à retardement ^^, vaux mieux d’abord gouter un peu et puis attendre 1h ou 2h voir les effets pour savoir si le dosage et pas trop violent (même chose pour n’importe quel préparation même pour le lait).


Cannabis. Tuto sur l’origine, les variétés et la culture.


Graines de cannabis : les faits.
Visuellement, il n’y a aucune différence entre des graines régulières, féminisées ou à auto-floraison. Une graine de cannabis et une graine de chanvre industrielle ont l’air pareil. La taille et la couleur peuvent varier. Beaucoup de gens pensent que les graines claires ne sont pas mûres et moins puissantes. Des tests ont démontré que les graines claires germent souvent plus rapidement car la peau des graines plus foncées est généralement plus dure.





Les graines Sativa sont plus petites
Les graines Sativa sont souvent plus petites que les graines Indica mais ce n’est pas une règle qui s’applique à 100%. Les graines de cannabis les plus anciennes trouvées ont environ 2 700 ans et ont été trouvées dans une tombe en Chine en 2007. Une plante de cannabis peut produire des centaines ou même des milliers de graines de cannabis.





Conseil de conservation 
Conservez les graines de cannabis dans une boîte hermétique dans la porte ou le tiroir légumes de votre frigo. Les graines de cannabis fraîches doivent être conservées dans un endroit frais et sec, elles peuvent ainsi germer jusqu’à 1-2 ans après achat. Nos fournisseurs doivent tester chaque lot de graines sur la puissance de germination et sur les propriétés génétiques.





Germination rapide des graines 
la vitesse de germination peut varier par graine, même de la même variété. Certaines graines germent en quelques jours, d’autres ont besoin une semaine. La germination ne dit rien sur la qualité de la plante de cannabis. La nature apporte à une partie des graines de chaque plante de cannabis une substance qui ralentit la germination. De cette façon est évité que les graines tombées germent tout de suite au soleil automnal. Ces jeunes plantes ne pourraient jamais survivre l’hiver qui approche. Les graines avec cette substance attendent le printemps suivant. Et elles germeront quand la météo est à nouveau favorable pour la plante de cannabis.
 
Masculin ou féminin
Si vous souhaitez cultiver quelques plantes de cannabis pour votre propre consommation, il est important que les plantes soient féminines. Seulement les plantes féminines donnent des bourgeons. Les bourgeons contiennent les cannabinoïdes comme THC, CBD et CBN. Le sexe d’une plante de cannabis est déterminé par le chromosome X et Y. Une plante avec deux chromosomes X est féminine, une plante avec un chromosome X et Y est masculine. En traitant la plante avec une hormone végétale (acide gibbérellique), la plante féminine est forcée de produire des fleurs masculines. Une telle plante est appelée hermaphrodite. Elle peut se féconder toute seule et produit donc des graines avec deux chromosomes X qui sont féminines. Les graines féminines donnent des plantes féminines dans 99% des cas. Les autres graines produisent des plantes féminines et masculines.





ATTENTION ! Si vous ne supprimez pas les plantes masculines à temps, vous récoltez ensuite des graines au lieu des bourgeons !





Graines à autofloraison
Les variétés à autofloraison sont devenues très populaires ces dernières 10 années. Ces sont quasiment toujours des variétés féminisées qui vont fleurir automatiquement, peu importe le nombre d’heures de lumière reçu. 





Graines médicinales 
Les graines médicinales sont des graines de cannabis qui sont sélectionnées pour leurs propriétés médicinales et qui peuvent soulager douleur et un grand nombre d’affections. Un exemple de ces graines médicinales est la Black Widow de Positronics.





Avantages des graines
Opter pour une plante de cannabis cultivée à partir des graines a de nombreux avantages. Acheter des graines de cannabis est légal, acheter des boutures de plantes de cannabis est illégal. La qualité génétique des graines renommées est excellente. Si vous achetez des boutures, vous ne savez pas ce que vous achetez comme qualité et en plus les boutures peuvent venir avec des pucerons, mites ou thrips. Les plantes de cannabis cultivées à partir des graines sont plus robustes ! 





Les graines de cannabis sont disponibles toute l’année
Vous pouvez acheter des graines discrètement et légalement sur la grange du cbdVous n’avez pas besoin d’approcher des contacts indésirables du circuit illégal. Et finalement… Si vous cultivez des plantes à partir des graines pour votre propre consommation, elles ont souvent un meilleur rendement que les boutures.





A l’extérieur ou à l’intérieur
Toute variété de cannabis peut en principe être cultivée à l’extérieur et à l’intérieur. Cependant, certaines variétés poussent mieux dedans et d’autres se plaisent plus dehors. Si vous cultivez à l’extérieur, la nature fait la plupart du travail. Vous n’avez pas besoin des accessoires qui sont nécessaires si vous cultivez à l’intérieur. Les plantes deviennent plus grandes que des plantes qui poussent à l’intérieur, si la météo estivale est clémente. La chaleur et la lumière gratuites du soleil sont les meilleures.





Un été humide provoque du stress
L’inconvénient de la culture extérieure est de ne pas pouvoir maitriser la météo ! L’endroit où vous trouvez peut limiter votre choix de variétés. Toutes les variétés de cannabis poussent dans le sud mais pas dans le nord de l’Europe. En Europe du Nord, par exemple, toutes les souches ne poussent pas, bien qu’en Europe du Sud, presque toutes les souches prospèrent.





Commencer une culture extérieure
Commencez la germination des plantes quand il ne gèle plus la nuit. Les fermiers (les vrais connaisseurs) plantent les cultures fragiles après les Saintes Glaces, la période entre le 11 et 14 mai. Trouvez un endroit où vos plantes sont le plus possible au soleil. Protégez les petites plantes au départ afin qu’elles s’habituent peu à peu à la puissance du soleil. Le vent doit pouvoir souffler sur la plante pour éviter des moisissures et le vent rend la plante forte et robuste.





L’eau de pluie pour vos plantes de cannabis
L’eau de pluie a une valeur pH moins élevée que l’eau du robinet ; les plantes de cannabis l’apprécieront. Vous pouvez mettre votre plante dans un grand pot ou une bassine, le plus grand le pot, le plus grand devient la plante. Le fond du pot doit toujours être percé pour que l’eau puisse drainer. Une plante de cannabis n’aime pas avoir les racines dans l’eau. Un manque d’oxygène peut noyer la plante. Optez pour une variété résistante avec une période de floraison courte. Tenez compte du climat dans lequel la plante va être cultivée.





Culture à l’intérieur
Cultiver les plantes à l’intérieur est plus compliqué qu’à l’extérieur car vous devez assurer vous-même les conditions optimales pour la plante. Une plante de cannabis qui fleurit peut sentir très fort, une chose à tenir en compte.





La lumière provoque du stress
Pendant les heures d’obscurité nécessaires pour la plante, il doit vraiment faire noir. Toute lumière dans l’endroit où vous cultivez signifie du stress pour la plante. Les plantes de cannabis sont très sensibles au stress ce qui résulte dans une récolte réduite.





Température et air
En plus d’une bonne maitrise de la température, il faut également suffisamment d’air frais. Si vous souhaitez cultiver à l’intérieur, il faut choisir une variété qui ne devient pas trop grande. Il faut bien connaitre les méthodes de culture intérieure afin de pouvoir limiter la croissance si besoin.





Les débutants choisissent les variétés à auto-floraison
Les variétés à auto-floraison sont idéales pour un débutant en culture intérieure ou extérieure. La hauteur est souvent limitée, elles sentent moins fortes et le cycle d’éclairage (heures dans l’obscurité et avec lumière) est le même pendant toute la période de culture.





Indica, Sativa ou hybride.
Les variétés Indica provoque un effet « stoned », les varitétés Sativa sont surtout connues pour leur effet énergique et « high ». Une variété Indica ou Sativa va fleurir quand le nombre d’heures de lumière diminue jusqu’à environ 12 par heures, donc vers fin août. Indica fleurit pendant une courte période alors que les variétés Sativa & Haze fleurissent plus longtemps. Ceci signifie qu’une variété Indica fleurit environ 8 semaines et peut être récoltée fin septembre, début octobre. Une Sativa Haze fleurit 12 à 14 semaines et peut donc être récoltée fin octobre, début novembre seulement. Une récolte tardive augmente le risque de moisissures et de pourriture dans les bourgeons. Beaucoup de variétés de cannabis Indica et Sativa sont hybrides pour préserver les meilleures propriétés des deux sortes.





Plantes à auto-floraison
Les variétés à auto-floraison conviennent parfaitement à une culture extérieure. Grâce à la floraison automatique, un facteur provenant de la plante Ruderalis, les plantes sont plus rapidement prêtes pour la récolte et résistent mieux aux nuits froides jusqu’à 10 °C. En été vous pouvez obtenir de deux à trois récoltes. Les variétés Indica et Sativa et leurs hybrides sont disponibles en variété féminisée à auto-floraison.  En moyenne, une variété à auto-floraison prend 10 semaines, de la germination à la récolte. Les variétés Haze à auto-floraison ont besoin 2 semaines de plus. Comme le cycle de ces variétés est court, il faut mieux cultiver la plante directement dans un grand pot. Une variété à auto-floraison cultivée à l’intérieur donne la meilleure récolte si la plante est exposée à la lumière 18 à 20 heures par jour.





Le cannabis soulage
Le cannabis soulage ou améliore de nombreuses affectations. L’effet du cannabis a été prouvé en cas de douleur, nausées, spasmes musculaires, la sclérose en plaques et pour stimuler l’appétit. De plus, beaucoup de gens utilisent du cannabis pour soulager des migraines, contre le stress, des problèmes de sommeil ou d’autres maux.





85 cannabinoïdes actifs 
Les effets (médicinaux) du cannabis sont attribués aux différents cannabinoïdes présents dans le cannabis. Les plus connus des 85 (ou plus) cannabinoïdes existants sont THC et CBD. Le CBD est un composant essentiel dans les variétés médicinales. Le CBD réduit l’effet psychoactif du THC donc les variétés riches en CBD ne provoquent pas ou peu d’effet « stoned ».





Les recherches et le cannabis médicinal
Actuellement beaucoup de recherches sont effectuées pour examiner l’effet du cannabis médicinal sur des patients avec un cancer ou l’épilepsie. La psychiatrie recherche également l’effet antipsychotique du CBD, un des cannabinoïdes essentiels du cannabis médicinal. CBD est intéressant pour soigner des addictions comme l’alcool ou l’héroïne.





Notre collection de graines de cannabis
Nous avons sélectionné nos graines sur une qualité fiable et quelques propriétés spécifiques. Nous vendons exclusivement des graines de qualité provenant des meilleurs fournisseurs de graines en Europe. Comme notre stock est limité et conservé au frais, vous avez la garantie d’acheter des graines fraîches.


















Aurora Cannabis et l’Université McGill établissent un partenariat international de recherche sur le CBD






19

Août









Aurora Cannabis Inc. et l’Université McGill
annoncent aujourd’hui l’établissement d’un projet de recherche médicale
de calibre international, qui sera mené de manière collaborative afin
d’étudier en profondeur les effets thérapeutiques et l’incidence sur la santé humaine de l’huile de cannabidiol (CBD), dans une optique de traitement de la douleur chronique et de l’anxiété ou la dépression qui s’y rattachent. Aurora Cannabis et l’Université McGill établissent un partenariat international de recherche sur le CBD.





À la suite d’une évaluation gouvernementale approfondie, le Ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation du Québec (MESI)
a accordé du financement à ce projet dans le cadre du Programme de
soutien à la recherche – Soutien à des initiatives internationales de
recherche et d’innovation. En plus de sa propre contribution financière,
Aurora assurera l’approvisionnement en huile de CBD. Les travaux seront effectués conjointement dans des centres de recherche situés au Canada, en Italie et en France.





Aurora Cannabis et l'Université McGill établissent un partenariat international de recherche sur le CBD




Le projet de recherche sera dirigé par la Dre Gabriella Gobbi, chercheuse à la faculté de médicine de l’Université McGill. La Dre Gobbi et son équipe travailleront conjointement avec des chercheurs internationaux de l‘Université Paris-Descartes, en France, ainsi que de l’Université de la Campanie « L. Vanvitelli » et l’Université Vie-Santé Saint-Raphaël, en Italie.
D’une durée de trois ans, ce projet de recherche translationnelle
étudiera les propriétés analgésiques de l’huile de CBD, du banc de
laboratoire au chevet des patients, en se penchant plus particulièrement
sur ses mécanismes d’action antidouleur en relation avec la dépression et l’anxiété.





« D’après notre vaste expérience auprès de plus de 45 000 patient canadiens, nous croyons que le CBD est l’un
des composés médicaux les plus efficaces qui soient légalement
accessibles aux patients recherchant des traitements analgésiques sans
effet d’accoutumance
 », affirme Terry Booth,
directeur général d’Aurora. « Notre appui et notre implication dans ce
projet illustrent le leadership d’Aurora dans le domaine du cannabis
médical, ainsi que notre engagement à long terme en faveur d’une
meilleure compréhension scientifique de cette substance d’une valeur
thérapeutique. Ce projet de recherche exhaustif fournira des données
probantes aux nombreux médecins qui prescrivent déjà du cannabis, ou
envisagent de le faire, dans de nombreux pays à travers le monde.
Cette initiative est d’autant plus importante que la légalisation du
cannabis médical suscite une adhésion croissante à l’échelle
internationale, ce qui ouvrira plusieurs nouveaux marchés potentiels au
cours des prochaines années.

Nous sommes fiers de participer à un tel projet en partenariat avec
un centre de recherche de calibre mondial comme l’Université McGill.
Nous tenons également à remercier le gouvernement du Québec pour son
appui. »





« Le cannabis et ses composés chimiques ne sont pas encore parfaitement compris, c’est pourquoi nous avons besoin d’études factuelles additionnelles », affirme la Dre Gabriella Gobbi. « De plus en plus de preuves scientifiques et anecdotiques démontrent que le CBD possède un grand potentiel médical, sans toutefois entraîner d’accoutumance indésirable.
Notre projet vise donc à préciser le mécanisme et le potentiel
d’application clinique du CBD. L’huile de CBD est prescrite de plus en
plus fréquemment à travers le monde, mais les médecins souhaitent
obtenir de plus amples directives fondées sur des
études cliniques et scientifiques. Nous sommes heureux de pouvoir
collaborer avec Aurora dans le cadre de ce projet qui témoigne d’un
leadership constant dans le domaine médical. Pour leur part, nos
collègues universitaires de France et d’Italie apporteront une vaste expertise en matière de pharmacologie de la douleur et de science du cannabis. »





Aurora Cannabis et l'Université McGill établissent un partenariat international de recherche sur le CBD




À propos d’Aurora





Active dans 14 pays et sur cinq continents, Aurora est un chef de
file mondial de l’industrie du cannabis dont la capacité de production
dépasse 570 000 kg par année et dont le siège social est situé à Edmonton, en Alberta.
Aurora est une entreprise verticalement intégrée et horizontalement
diversifiée à toutes les étapes clés de la chaîne de valeur. Son
expertise inclut le design et la conception d’installations, la
recherche en génétique et la reproduction de variétés, la culture de
cannabis médical, la culture à domicile, la production de chanvre et le
développement de produits dérivés à haute valeur ajoutée. Aurora se
distingue également par son vaste réseau de distribution de gros et de
détail.





MONTRÉAL, le 16 août 2018 /CNW/





Source : https://www.newswire.ca/fr/news-releases/aurora-cannabis-et-luniversite-mcgill-etablissent-un-partenariat-international-de-recherche-691042971.html


Le CBD et l’arthrose des chiens : une combinaison efficace et sûre






L’utilisation des cannabinoïdes chez l’animal est de plus en plus
répandu : nous avons traité le sujet dans de nombreux articles, dont
celui-ci (cliquez ici). Reconnu pour son action de rééquilibre du système endo-cannabinoïdes, propre à tous les mammifères, mais également pour son action anti-inflammatoire, le CBD
est également utilisé chez nos amis à quatre pattes pour lutter contre
leur arthrite : Le CBD et l’arthrose des chiens : une combinaison
efficace et sûre.





Mise en ligne le 23 Juillet 2018, et disponible en cliquant ici, une étude menée par l’équipe du professeur Gamble LJ, de la Faculté de Médecine vétérinaire de l’Université Cornell, dans l’Ithaca, aux États-Unis, à été publiée sur le quotidien From Vet Sci.





Les objectifs de cette étude étaient de déterminer la pharmacocinétique orale de base et d’évaluer l’innocuité et l’efficacité analgésique d’une huile à base de cannabidiol (CBD) chez les chiens atteints d’arthrose. 22 chiens ont été sélectionnés.





Le CBD et l’arthrose des chiens : une combinaison efficace et sûre




Les chiens ont reçu chacun des deux traitements suivants: huile de CBD (2 mg / kg) ou huile placebo toutes les 12 heures. Chaque traitement a duré 4 semaines avec une période de sevrage de 2 semaines. L’évaluation vétérinaire initiale et les questionnaires du propriétaire ont été complétés avant le début de chaque traitement et aux semaines 2 et 4.





Cliniquement, l’inventaire de la douleur chez le chien et
les scores d’activité de Hudson ont montré une diminution significative
de la douleur et une augmentation de l’activité (p <0,01) avec
l’huile de CBD.





D’après leur conclusions, le CBD a une dose de 2mg par kilos de poids de corps a augmenté le confort et l’activité des animaux.





Aucun effet secondaire n’a été rapporté par les propriétaires,
cependant, la chimie sérique a montré une augmentation de la phosphatase
alcaline au cours du traitement par CBD (p <0,01).





Depuis déjà de nombreuses années, nous utilisons le CBD pour nos amis les animaux.
Après avoir essayé et testé de nombreux produits CBD “spécifiques aux
animaux”, nous avons été déçus : a part la photo d’un animal sur
l’étiquette, aucuns de ces produits n’était réellement adapté aux animaux, et proposait simplement une huile CBD normale.


Le CBD prévient les comportements schizophréniques chez les animaux


Nous vous en parlions il y a quelque jours dans notre article spécial sur les animaux, que vous pouvez retrouver en cliquant ici, ils sont tous aussi réceptifs que les humains, au CBD. Une nouvelle étude de 2018 viens d’être mise à disposition du grand public, et confirme son action positive : Le CBD prévient les comportements schizophréniques chez les animaux.





Réalisée au sein de l’Université Fédérale de São Paulo, au Brésil, et disponible en cliquant sur ce lien, l’étude à été menée afin de pouvoir déceler comment le CBD pourrait aider à prévenir les troubles du comportements semblables à ceux de la schizophrénie. Cette étude est disponible depuis le 21 Aout 2018.





La schizophrénie est considérée comme un trouble psychiatrique
neurodéveloppemental débilitant et sa pharmacothérapie reste
problématique sans des avancées majeures récentes. Le développement
d’interventions permettant de prévenir l’apparition de la schizophrénie représenterait donc un progrès énorme.





Ici, les chercheurs ont examiné si le traitement au cannabidiol
(CBD – un composé du chanvre présentant un profil antipsychotique chez
l’animal et chez l’homme) pendant la péri-adolescence permettrait de prévenir les anomalies comportementales schizophréniques chez un modèle animal de schizophrénie: le rat.





Les rats Wistar et les SHR ont été traités avec un apport de CBD de 30 à 60 jours post-natals.





Dans l’expérience 1, les comportements semblables à la schizophrénie
(activité locomotrice, interaction sociale, inhibition de la peur
d’apparition et de la peur contextuelle) ont été évalués 90 jours après
la naissance. Les effets secondaires généralement
associés au traitement antipsychotique ont également été
évalués:(traitement et dyskinésie orale 48 h après l’interruption du
traitement et 90 jours après l’accouchement). Dans l’expérience 2, les taux sériques de triglycérides et de glycémie ont été évalués au jour 61. Dans l’expérience 3, les taux de BDNF, de monoamines et de leurs métabolites ont été évalués aux jours postnatals 61 et 90 dans le cortex préfrontal et le striatum.





Les conclusions des experts sont les suivantes :






Le traitement par CBD a empêché l’apparition de l’activité
hyperlocomotrice des RSH (un modèle pour les symptômes positifs de la
schizophrénie) et des déficits d’inhibition prépulse des déficiences
cognitives et de sursauts (déficiences cognitives).





Le CBD n’a induit aucun des effets secondaires moteurs ou métaboliques potentiels évalués. Le traitement par CBD a augmenté le rapport préfrontal du cortex 5-HIAA / sérotonine et les taux de 5-HIAA aux jours postnatals 61 et 90, respectivement.





Nos
données fournissent des preuves préventives et positives pour le
traitement de la schizophrénie et suggèrent l’implication du système
sérotoninergique sur cet effet.





Ainsi, l’étude à pu prouver que le CBD à pu prévenir l’apparition des troubles étudiés, surement grâce à son action forte sur la sérotonine.


Le CBD réduit les symptômes de la sclérose en plaque dans un modèle animal


La sclérose en plaques (SEP) est une maladie
auto-immune qui touche des individus génétiquement prédisposés mais qui
semble déclenchée par des éléments environnementaux qui agissent comme
des facteurs de dérégulation de l’immunité, d’inflammation et de
dégénérescence des nerfs. Récemment encore, ce sujet à été étudié afin
d’évaluer l’effet des cannabinoïdes : Le CBD réduit les symptômes de la sclérose en plaque dans un modèle animal.

C’est le 5 Octobre 2018 que cette étude, que vous pouvez retrouver en cliquant ici, à été publié. Mise en place par une équipe de scientifique de l’école de Médecine Hadassah, de l’Université Hébraïque de Jérusalem, à Israël, elle a évalué l’effet de l’application de 2 cannabinoïdes sur la SEP.





La SEP peut être traitée avec des médicaments immunosuppresseurs qui atténuent les symptômes et retardent l’aggravation de la maladie. L’acétate de glatiramère (Copaxone) est l’un de ces médicaments utilisés en pharmacopée.





Le composé cannabinoïde (CBD), un cannabinoïde immunosuppresseur non psychotrope, a récemment montré des effets bénéfiques sur l’encéphalomyélite auto-immune expérimentale (EAE).





Le but de cette étude était de comparer l’efficacité du CBD et des extraits standardisés d’une sous-espèce de cannabis indica Av9-THClow (Avidekel) riche en CBD, avec celle du Copaxone.





Les données montrent que les extraits de CBD et d’Avidekel purifiés sont aussi efficaces que le Copaxone pour atténuer les symptômes de l’EAE induite par la protéine protéolipide (PLP) chez la souris.





D’après les scientifiques, aucun effet synergique n’a été observé en combinant des extraits de CBD ou d’Avidekel avec le médicament déjà utilisé, le Copaxone.





Nos données appuient l’utilisation d’extraits de fort taux de CBD dans le traitement des symptômes de la sclérose en plaques.





Ainsi, les scientifiques ont pu démontrer, dans cette étude animale, que
l’utilisation de fort taux de CBD, renforcé par une présence de THC,
ont permis de ressentir les mêmes effets que le médicament Copaxone sur
les souris de l’étude
, utilisé actuellement dans la pharmacopée.


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Rue du pont 13,

5300 Andenne

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Téléphone: (+32)478362887

T.V.A/ BE0725. 511.795

La grange du cbd décline toutes responsabilités en cas de mésusage de ses produits

 

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